29.1 C
Ouagadougou
mardi, 29 avril 2025
Accueil Blog

L’Association Lydie offre des produits et consommables médicaux d’une valeur de 60 millions FCFA à plusieurs structures sanitaires

0

Le Centre International d’Évangélisation (CIE), à travers son bras social, l’Association Lydie, a organisé une cérémonie de remise de produits et consommables médicaux à cinq formations sanitaires ainsi qu’à la Direction générale de l’administration pénitentiaire, ce mercredi 26 mars 2025 à Ouagadougou. Cette initiative vise à contribuer à l’accès aux soins des personnes vulnérables et des personnes en détention.

La photo de famille

L’Association L.Y.D.I.E, qui signifie Leadership des Femmes de Destinées en faveur des Couches Défavorisées, est une organisation de droit burkinabè, à but non lucratif et apolitique, créée en 2012. Elle œuvre pour le développement par le leadership des femmes et l’amélioration des conditions de vie des populations démunies. La Présidente l’Association Lydie, Dr Hortense Karambiri/Palm, a expliqué que dans le contexte de crise sécuritaire et sanitaire que traverse le pays, les besoins en matière de santé sont immenses. Selon elle, seule la conjugaison des efforts de tous permettra de relever les nombreux défis existants. « C’est pourquoi l’Association Lydie, que je dirige, souhaite apporter sa contribution aux actions diverses et multiformes menées par les autorités du pays sur le terrain », a-t-elle déclaré.

La remise symbolique

Elle a souligné qu’avec le soutien de leurs partenaires HEIRS of CHRIST et MAP, ils ont pu mobiliser et acheminer à Ouagadougou un conteneur de 20 pieds rempli de médicaments et de consommables médicaux. L’ensemble du don, d’une valeur d’environ 60 millions de francs CFA, vise à améliorer l’accès aux soins des personnes vulnérables et des personnes en détention.« Si la santé est un droit fondamental, force est de constater que de nombreuses personnes, en raison de conditions socio-économiques défavorables, rencontrent des difficultés pour accéder aux soins de base », a  déploré Dr Hortense Karambiri/Palm

La Présidente l’Association Lydie, Dr Hortense Karambiri/Palm

Cette dernière précise que ce geste n’est qu’un don symbolique, qui traduit leur volonté de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des patients vulnérables dans les centres de santé ainsi que des détenus en prison. Dr Hortense a également précisé que l’Association Lydie a pour mission d’apporter des réponses et des solutions adaptées aux besoins des personnes démunies. Elle intervient notamment dans les domaines de la santé, de la protection de l’enfance et de l’autonomisation économique des couches sociales défavorisées.La première responsable de l’association a rappelé que la première opération de don réalisée en 2023 avait été un test. Elle concernait alors la distribution de consommables et de petits matériels médicaux au Centre médical urbain de Dassasgho et à l’infirmerie de la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO). Cette année, l’opération s’est élargie à cinq formations sanitaires il s’agit . Du Centre Hospitalier Universitaire Yalgado Ouédraogo, le Centre Hospitalier Universitaire Pédiatrie Charles de Gaulle, le Centre Hospitalier Universitaire Souro Sanou, le Centre Hospitalier Régional de Fada N’Gourma, le dispensaire du Centre International d’Évangélisation et la Direction centrale de l’Administration pénitentiaire.

Le secrétaire général du ministère de la Santé, Joël Arthur Tiendrébéogo, représentant le ministre de la Santé

Prenant la parole, le secrétaire général du ministère de la Santé, Joël Arthur Tiendrébéogo, représentant le ministre de la Santé, a salué les efforts de l’Association Lydie pour l’amélioration du bien-être des populations, en particulier les couches les plus vulnérables. les femmes, les enfants, les personnes âgées, les personnes handicapées et les détenus.« La valeur globale de ce don, estimée à 60 millions de francs CFA, tombe à point nommé, au regard du contexte actuel marqué par la rareté des ressources, la présence de nombreuses personnes déplacées internes et les blessés de guerre », a-t-il affirmé.Selon lui, cette initiative s’inscrit parfaitement dans les objectifs du ministère, qui vise à réduire les inégalités d’accès aux soins de santé de qualité. Joël Arthur Tiendrébéogo estime que de telles actions permettent d’améliorer significativement la prise en charge des populations les plus vulnérables.

Église Apostolique :Une convention pour célébrer 50 ans de partenariat Suisso-burkinabè

0

La convention nationale de l’église Apostolique du Burkina a débuté ce Mercredi 26 mars 2025  au quartier Tanghin de Ouagadougou.Elle rassemblera durant cinq (5) jours des fidèles chrétiens venus de l’intérieur du pays comme de l’extérieur.Le thème retenu cette année est « Cinquante ans de partenariat missionnaire : bilan de perspective ».A cet effet une délégation de missionnaires Suisses est présente dans la capitale Burkinabè pour apprécier l’évolution de la graine semée il y a un demi siècle aujourd’hui.

Des milliers de fidèles chrétiens venus de divers participent à la convention nationale de l’église Apostolique du Burkina.Un temps de communion fraternelle selon le Président national de cette dénomination ecclésiastique qui le place sous le signe de la reconnaissance où le partenariat Suisso-burkinabè est à l’honneur.C’est ce qui explique le choix du thème de la convention « cinquante ans de partenariat missionnaire :bilan et perspectives ».

Apôtre Dr Vincent ILBOUDO/Président de l’Église Apostolique du Burkina

Pour le Dr Vincent ILBOUDO,

<<ce partenariat, débuté en 1975 ,a joué un rôle crucial dans le développement et l’édification de l’Église Apostolique au Burkina Faso,alors appelée Haute-Volta.Le Pasteur Bruno Krähenbühl, premier missionnaire envoyé par l’Eglise Apostolique Suisse ,arriva pour soutenir une Église encore jeune, âgée de seulement dix ans,mais déjà animée d’une vision ambitieuse>>.

Elisabeth Krähenbühl/Épouse de Missionnaire

Cette ambition basée sur la foi en Christ le sauveur est saluée par l’épouse du premier missionnaire qui ne cache pas sa joie de refouler à nouveau le sol Voltaïque pour ne pas dire Burkinabè.Venue à la présente convention avec sa fille, Elisabeth Krähenbühl salue le travail abattu par l’église Apostolique du Burkina,la graine semée par le premier missionnaire a porté de bons fruits de réjouit-elle.

Elisabeth Krähenbühl et sa fille à l’extrême gauche 

<<Quand on arrivait, il y avait un petit groupe dans une vielle petite église et c’était tellement touchant de voir ce groupe qui aimait Jésus. Mon mari était trois mois avant moi là-bas, quatre mois et il m’a écrit, il a dit j’ai pleuré et quand j’ai entendu chanter ces gens qui chantaient Wennam ya soama(NDLR:Dieu est bon en langue mooré), c’était vraiment touchant de voir leur attachement à la foi chrétienne>>

explique avec émotion l’épouse du Pasteur Bruno Krähenbühl.

La collaboration entre L’Eglise Apostolique de Suisse et du Burkina,fut bâtie sur la formation et le soutien.Au delà de l’aspect spirituel,le partenariat a des impacts sociaux et humanitaires.Des projets éducatifs à des initiatives agricoles en passant par des programmes nutritionnels,les actions de développement menées par les deux partenaires ont dans doute renforcé le mieux-être des communautés bénéficiaires.Un signal fort de l’amour du prochain précise Christian Meyer,cet autre missionnaire Suisse présent à Ouagadougou après quinze (15) ans d’absence.

Christian MEYER/Missionnaire Suisse

<<C’est un plaisir pour moi d’être de retour ici après 15 ans d’absence.Il faut dire qu’en cinquante (50) ans de partenariat,il y’a tellement de bonnes choses qui se sont produites.La collaboration a commencé en 1975 et à l’époque n’y avait que trois églises.Presentement l’Église Apostolique du Burkina compte plus de trois cents (300) églises trente milles(30.000) membres donc vraiment on peut dire que ça a développé d’une manière qu’on peut juste être étonné et être reconnaissant de ce qui s’est passé>> fait comprendre le missionnaire Meyer.

Notons que cette convention nationale qui se tient jusqu’au dimanche 30 mars 2025 ,offre l’occasion aux participants de réfléchir à l’avenir du partenariat missionnaire avec l’Église Apostolique Suisse.Louange, adoration et prédication sont au programme de cette rencontre bienale qui réunit des milliers de fidèles du Burkina et d’autres pays comme le Bénin,le Togo ou le Ghana.

Église Apostolique de Tengandaogo : Une journée d’action de grâce pour exprimer la reconnaissance à Dieu

0

Le dimanche 26 janvier 2025, les fidèles de l’Église Apostolique de Tengandaogo se sont réunis pour célébrer leur traditionnelle Journée annuelle d’action de grâce. Cette occasion spéciale, inscrite dans la vie de la communauté chrétienne, permet aux croyants d’exprimer leur gratitude à Dieu pour ses nombreux bienfaits.

Un message centré sur la sincérité de l’action de grâce

Dans son enseignement, l’ancien Robert OUEDRAOGO assisté de son interprète Tabitha CONGO a souligné que l’essentiel d’une action de grâce réside dans sa sincérité. « Ce n’est pas l’aspect festif qui compte, mais ce qui vient du cœur. Dieu agrée les actions de grâce véritables, celles qui expriment une reconnaissance profonde », a-t-il affirmé.

L’orateur a également invité les fidèles à adopter une attitude de gratitude en toutes circonstances, non seulement dans les moments de bonheur, mais aussi face aux épreuves. « Ne vous attardez pas sur vos difficultés passées, mais souvenez-vous des bienfaits de Dieu », a-t-il exhorté en citant l’exemple du roi David dans le Psaume 103 : « Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! ».

Fidèles de l’Église Apostolique de Tengandaogo
Fidèles de l’Église Apostolique de Tengandaogo

Les conséquences de l’ingratitude

L’enseignement a également mis en garde contre l’ingratitude. Selon l’orateur, Dieu aime les cœurs reconnaissants et récompense la fidélité dans les petites choses. À l’inverse, l’infidélité et l’ingratitude peuvent entraîner des conséquences négatives. À travers l’exemple de la parabole des talents, il a rappelé que les bénédictions sont multipliées pour ceux qui reconnaissent les dons de Dieu.

Pour conclure, l’ancien Robert OUEDRAOGO a encouragé les fidèles à faire de la reconnaissance une pratique quotidienne. « La gratitude transforme nos vies en témoignages vivants pour ceux qui ne connaissent pas encore Dieu. À l’image de Jésus qui a rendu grâce pour cinq pains et deux poissons avant que Dieu ne les multiplie, nous devons toujours remercier le Seigneur, peu importe la situation. »

Au cours de ce culte solennel, les chorales et différents groupes musicaux se sont succédé pour élever des chants de louange et d’adoration, créant une atmosphère de joie et de reconnaissance.

Exhortation au Temple Shalom : “Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu”

0

Ce dimanche 26 janvier 2025, le Temple Shalom du quartier Yagma (Ouagadougou) a célébré un culte dominical mémorable autour du thème inspirant : « Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ». Animé par le pasteur Thomas Sawadogo, le message a exhorté les fidèles à persévérer dans la foi pour expérimenter la puissance et la gloire de Dieu.

 

La foi, clé de la délivrance : l’exemple de Pierre

Le message s’est appuyé sur le récit de la délivrance miraculeuse de l’apôtre Pierre, relaté dans Actes 12:12-16. Le pasteur Sawadogo a souligné que Pierre, emprisonné et destiné à l’exécution, a été sauvé grâce à la foi et à la prière de l’Église. Il a rappelé que, tout comme l’Église primitive a prié avec foi, nous sommes aujourd’hui appelés à mettre notre confiance en Dieu dans les moments difficiles. L’orateur a encouragé l’assemblée à croire fermement en la capacité de Dieu à intervenir dans les situations désespérées, affirmant que la foi ouvre les portes des miracles.

L’orateur

La persévérance dans la foi : une leçon de victoire

En s’appuyant sur l’histoire de la femme qui, malgré des années de souffrance, a été guérie en touchant le vêtement de Jésus, le pasteur a rappelé que la foi active apporte la victoire. Il a exhorté les fidèles à maintenir leur confiance en Dieu, même face à l’adversité, en déclarant :
« Si tu crois, rien n’est impossible à celui qui a foi en son Seigneur ! »Les fidèles ont également été invités à appliquer cette foi dans leurs projets personnels et collectifs, avec la certitude que Dieu honorera leurs efforts pour sa gloire.

Une exhortation à la persévérance

À travers ce message fort, le Temple Shalom a rappelé à ses fidèles que la foi est le socle de toute victoire spirituelle et personnelle. En persévérant dans la prière et la confiance en Dieu, chacun peut voir la gloire divine se manifester dans sa vie.

Un temps d’adoration et de prière fervente

Le culte a été rythmé par des chants de louange et d’adoration, avec des prestations vibrantes des différentes chorales. Une séquence de prière spéciale a été dédiée à l’édification du Corps de Christ et à la victoire dans la vie des fidèles.

48ème Conseil Général des Assemblées de Dieu du Burkina Faso : des orientations stratégiques de l’Église au Burkina

0

Du 15 au 19 janvier 2025, Ouagadougou a accueilli le 48ème Conseil Général des Assemblées de Dieu du Burkina Faso, un événement clé marqué par la réélection du docteur Étienne ZONGO à la présidence. Cette rencontre a rassemblé des milliers de fidèles et de responsables ecclésiastiques, focalisés sur l’unité, l’évangélisation, et un retour fervent à la Parole de Dieu.

Renouvellement de l’instance dirigeante : La continuité assurée 

L’un des moments forts de cette assemblée a été le renouvellement du bureau exécutif national. Le Dr Étienne ZONGO,  a été reconduit à la présidence pour un mandat de trois ans. Cette décision, accueillie avec enthousiasme par les participants, témoigne de la confiance placée en sa capacité à poursuivre la mission de l’église avec sagesse et détermination.

L’évangélisation et la Parole de Dieu au cœur des priorités

Le thème central de ce 48ème Conseil a été l’évangélisation et le retour à la Parole de Dieu. Les discussions ont mis en lumière la nécessité de recentrer les activités sur les enseignements bibliques, considérés comme le fondement indispensable pour une foi vivante et transformative.

Les participants ont exploré des stratégies innovantes pour encourager chaque membre à devenir un acteur actif de l’évangélisation. L’objectif est clair : répandre la lumière de l’Évangile dans toutes les régions du Burkina Faso, en s’appuyant sur une communauté engagée et unie.

Trois axes stratégiques pour l’avenir 

Le Conseil a également défini trois axes majeurs pour les années à venir :

  • La réforme : Renforcer les structures internes de l’église pour une gestion plus efficace et transparente.
  • Le réveil : Stimuler une dynamique spirituelle nouvelle au sein des communautés locales, en insistant sur la prière et la méditation de la Parole.
  • Le rayonnement : Accroître l’impact de l’église dans la société, en répondant aux besoins spirituels et sociaux des populations.

Ces axes s’accompagnent de programmes concrets, notamment des campagnes d’évangélisation, des formations bibliques approfondies et un suivi attentif des jeunes générations pour les ancrer dans la foi.

Un engagement renouvelé pour la nation

Le Conseil n’a pas oublié la dimension nationale de sa mission. Des temps de prière intenses ont été consacrés à la nation burkinabè, invoquant la paix, la stabilité et la prospérité pour le pays. Les participants ont également évalué le cheminement spirituel de l’église par rapport aux objectifs fixés lors des précédentes assemblées, constatant des progrès significatifs mais aussi des défis à relever.  Le bureau exécutif, tout comme l’Église du Burkina Faso dans son ensemble, bénéficie du soutien de l’Alliance mondiale des Assemblées de Dieu. Ce soutien international renforce la capacité de l’Église à mener à bien ses missions et à étendre son influence spirituelle.

Le 48ème Conseil Général des Assemblées de Dieu du Burkina Faso s’est clôturé sur une note d’espérance et de détermination. Sous la conduite du Dr Étienne ZONGO et avec l’engagement de tous ses membres, l’église se tourne vers l’avenir avec une vision claire et une foi renouvelée.

48ème Conseil Général des Assemblées de Dieu du Burkina Faso : Un engagement renouvelé pour l’évangélisation et le réveil

0

L’Église des Assemblées de Dieu du Burkina Faso a organisé du 15 au 19 janvier 2025 son 48ᵉ Conseil Général. Une rencontre d’envergure qui a permis le renouvellement du Conseil d’Administration et la définition de nouvelles orientations pour l’Église.

Le nouveau bureau exécutif, dirigé par le Dr Étienne ZONGO entend intensifier ses efforts pour ramener les fidèles à la Parole de Dieu et renforcer l’évangélisation à travers tout le pays. « Nous allons nous encourager mutuellement à être des évangélistes et à parcourir le territoire pour annoncer la Bonne Nouvelle », a-t-il déclaré lors du Conseil.

Un appui international et une vision axée sur les « 3R »

L’Assemblée Mondiale des Assemblées de Dieu représenté par son président le Révérend Dominic YEO, par ailleurs orateur principal de ce Conseil a exprimé son soutien actif à l’Église burkinabè dans sa vision stratégique basée sur les « 3R » : La Réforme, Le Réveil et le Rayonnement.

« Une fois ouvertes à ces trois piliers, les Assemblées de Dieu du Burkina Faso s’inscrivent pleinement dans la vision MM33 », a précisé le Révérend Dominic YEO. Ce programme vise à promouvoir l’évangélisation, l’enseignement de la Parole de Dieu, l’accompagnement de la jeunesse et la prière.

Un moment de réflexion pour l’avenir de l’Église

Au-delà des décisions administratives, le 48ᵉ Conseil Général a également été marqué par des enseignements, des sessions de prière pour la nation et des réflexions sur la marche de l’Église. Avec près de 8 000 pasteurs réunis, l’événement a permis d’évaluer les avancées en matière de réforme et d’éveil spirituel, amorcées depuis le centenaire de l’Église.

Ce rendez-vous a une fois de plus confirmé la volonté des Assemblées de Dieu du Burkina Faso d’accroître leur impact spirituel et social, tout en s’inscrivant dans une dynamique de transformation et de renouveau.

L’Eglise de Assemblées de Dieu du Burkina a remis une attestation de reconnaissance au Révérend Dominic YEO, Président de l’Assemblée Mondiale des Assemblées de Dieu qui a été orateur principal de ce 48e Conseil Général.

Le véritable parcours de la vie chrétienne : enseignement du Pasteur Paul KABORE

0

Ce dimanche 12 décembre 2025, à l’Église de la Mission Apostolique de Pissy (TNV), le Docteur Pasteur Paul KABORE a conclu son enseignement sur Le véritable parcours de la vie chrétienne. Une rencontre marquée par un message inspirant sur le salut et des moments d’adoration exaltants.

Les défis du chemin chrétien

En introduction, le Pasteur Paul KABORE a rappelé les principales leçons de son précédent message. Il a souligné que la vie chrétienne est jalonnée de difficultés, car le diable tente par tous les moyens d’éloigner les croyants de leur foi. Cependant, il a encouragé les fidèles en affirmant que, malgré les épreuves variées auxquelles chacun fait face, la victoire est assurée avec Christ. Selon lui, “notre souffrance a une fin, car Christ a triomphé sur la croix, et nous sommes appelés à être vainqueurs avec lui.”

Le salut : une grâce divine

Le cœur du message de l’orateur a porte sur le thème du salut, un concept souvent méconnu dans toute sa profondeur. Le Pasteur a expliqué que le salut, qui signifie être sauvé, ne peut provenir que de Dieu, le Créateur de toutes choses. Il a insisté sur le fait que cette grâce divine est accessible à tous, y compris à ceux qui, aux yeux des hommes, semblent ne pas la mériter.

Appuyant son message sur plusieurs passages bibliques, le Pasteur Paul KABORE a rappelé que :

Tous sont pécheurs. Selon Romains 3:23, “tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.”

Les bonnes œuvres ne suffisent pas. Citant Ésaïe 64:2, il a expliqué que les actes humains, aussi louables soient-ils, ne peuvent acheter la faveur divine.

Le salut est un don gratuit. Selon Éphésiens 2:8, c’est uniquement par la grâce de Dieu, au moyen de la foi, que le salut est accordé.

Le Pasteur a conclu sur l’importance de confesser Jésus-Christ comme Seigneur et de croire en sa résurrection, selon Romains 10:9. Il a également exhorté les fidèles à évangéliser leur entourage en rappelant que le plus grand cadeau que l’on puisse offrir à ses proches est de leur transmettre l’amour de Dieu et le message du salut.

Outre l’enseignement édifiant, cette rencontre a été agrémentée de prestations musicales qui ont permis aux fidèles de louer et d’adorer l’Éternel avec ferveur.

Nahouri : Une fédération évangélique offre des vivres aux personnes déplacées internes

0
Image d'illustration

La Fédération des églises et missions évangéliques (FEME) du Nahouri, a offert des vivres, le vendredi 10 janvier 2025 à Pô, aux Personnes déplacées internes (PDI) de la province du Nahouri. C’est le haut-commissaire de la province du Nahouri, Auguste Kinda, qui a réceptionné le don.

Les Personnes déplacées internes (PDI) de la province du Nahouri, ont bénéficié le vendredi 10 janvier 2025, des vivres offerts par la Fédération des églises et missions évangéliques (FEME) du Nahouri.

Le donc est composé de 80 sacs de riz de 25 kg, 10 cartons de savon CITEC et 7 bidons d’huile de 20 litres.

Pour le président de la FEME, Pasteur Luc Piouyiri, être PDI n’est pas un choix mais une situation du monument qui impose cela.

« Nous avons décidé de venir en aide à ces personnes qui ont quitté leur localité par la force des choses et cela se justifie par deux raisons qui sont la recommandation du seigneur Jésus Christ et le désir et la volonté du gouvernement Burkinabè invitant toutes les communautés à soutenir ces PDI », a-t-il indiqué.

La représentante des PDI, Christine Bassorobou, a remercié les donateurs pour le don.

« Nous témoignons notre reconnaissance aux autorités et toutes les populations pour l’accueil chaleureux dont nous avons bénéficié depuis notre arrivée. Notre souhait est que la paix revienne afin que nous puissions retrouver nos localités respectives», a indiqué Mme Bassorobou.

Le haut-commissaire de la province du Loroum, Auguste Kinda, a salué le caractère humanitaire de ce don.

Il a invité les responsables de la FEME et toutes les autres confessions de continuer à prier pour le retour de la paix, la cohésion sociale au Burkina.

Après la remise du don, la délégation de la FEME a prié pour les autorités du Burkina afin qu’elles aient les forces nécessaires pour conduire les destinées du pays.

Burkina Faso/ Agriculture biologique : Des pièges collants pour atténuer l’utilisation des pesticides chimiques

0

Au Burkina Faso, l’utilisation des pesticides chimiques pour lutter contre les insectes ravageurs en agriculture est en constante augmentation. Cependant, de nombreux cas d’intoxication alimentaire, parfois mortels, causés par ces substances ont été enregistrés, posant un grave problème de santé publique. Face à cette menace, certains agriculteurs se tournent vers des méthodes naturelles, telles que les pièges collants. Cette alternative permet-elle de promouvoir une agriculture plus saine et respectueuse de l’environnement ?

Le rapport de “Atlas des pesticides” publié en 2023 par un collectif d’organisations écologistes européennes indique que, chaque année, 385 millions de personnes sont victimes d’empoisonnement par les pesticides chimiques. Selon cette étude, l’on peut être exposé à son insu aux pesticides chimiques dans différentes situations : dans les champs, en forêt, en mangeant ou en buvant de l’eau. Certains effets se manifestent immédiatement, tandis que d’autres peuvent survenir au bout de plusieurs heures.

Au Burkina Faso, la journée du 24 août 2019 restera à jamais gravée dans la mémoire de la famille Bakuan. D’une cérémonie de réjouissance à une série de deuils, cette famille vivra un drame. À l’occasion d’une présentation de famille, un plat traditionnel à base de petit mil, le « gonré », est au menu. Malheureusement, tous ceux qui ont goûté à ce repas seront intoxiqués.

Le chef de famille, une de ses épouses, ses enfants et des petits-fils perdent la vie. Clément Bakuan est un des fils du défunt père. Nous l’avons retrouvé à Lapio où le drame a eu lieu. C’est dans la commune de Dydir, à environ 150 kilomètres de Ouagadougou. Ce jour-là, une panne de sa motocyclette l’empêche de rentrer à temps pour les festivités, ce qui l’a probablement épargné de la mort.

Clément Bakuan montrant le grenier où étaient stockés les vivres avant le drame

« Notre père a été enterré ici. Les autres corps ont été inhumés dans différents cimetières. Au total, treize personnes sont décédées », indique Clément Bakuan. Selon lui, aucune explication ne leur a été donnée à ce jour sur les causes du drame. Pourtant, à l’époque des faits, l’hypothèse d’une exposition aux pesticides chimiques est clairement énoncée dans les médias par les autorités sanitaires. Des drames similaires se sont reproduits plus tard dans d’autres localités

La loi 026-62017/AN portant contrôle de la gestion des pesticides au Burkina Faso, dans son chapitre 9, stipule que tout utilisateur de pesticides doit respecter les prescriptions requises et s’informer des risques sur la sécurité, la santé humaine, la santé animale et sur l’environnement.

En dépit du fait que, dans le cas du drame survenu à Lapio, les autorités sanitaires aient évoqué une intoxication aux pesticides, aucune mesure d’urgence n’a été prise pour prévenir de tels incidents. Face au danger que représentent les pesticides chimiques, certains producteurs se sont alors orientés vers l’agriculture biologique. Ces derniers tentent d’utiliser des alternatives naturelles en fonction de leurs connaissances et de leurs moyens. C’est le cas des pièges collants ou pièges à glue, à la fois utilisés pour protéger les champs des insectes ravageurs et produire sain.

Tableau :

La colle et la couleur, deux éléments clés

Les pièges collants ou pièges à glue utilisent des surfaces adhésives pour capturer les insectes. Les agriculteurs l’apprécient en raison de sa facilité d’installation et d’entretien. De plus, ils peuvent être placés dans divers environnements, notamment les cultures en champ, les serres et même les jardins domestiques. Une fois mis en place, les pièges nécessitent peu d’entretien et doivent être remplacés ou nettoyés périodiquement, ce qui est relativement simple.

À quelques kilomètres de la capitale, dans la commune de Loumbila, Richard Moné s’affaire avec ses fermiers dans son champ de piment. À cette période chaude de l’année, cet ingénieur agronome doit redoubler d’efforts pour s’assurer une bonne récolte. Quand il a commencé à produire dans sa ferme de trois hectares, il avait pour objectif de faire de l’agriculture biologique. Mais c’était sans compter avec l’avidité des insectes ravageurs qui détruisent ses cultures.

Pour atteindre son objectif, il fait recours au piège collant. « Ce sont des plaques en plastiques biodégradables sur lesquelles on a mis de la colle. La plaque en plastique a des couleurs bien données en fonction du type d’insectes que l’on veut capturer. Les chercheurs ont remarqué que certaines couleurs comme le jaune, le bleu et le gris attirent les insectes. Mais la couleur jaune est la couleur qui attire le plus grand spectre d’insectes », explique Richard Moné.

Les insectes qui se déposent sur ces plaques, y restent et cela lui évite de faire des traitements chimiques pour les éliminer ou les repousser. Pour plus d’efficacité, il faut en placer un certain nombre avec des distances bien déterminées.

Un outil simple et facile à utiliser

Le piège à glue est imperméable à l’eau, donc très pratique pendant la saison des pluies. En fonction de la pression parasitaire de l’environnement, sa durée d’utilisation peut atteindre trois mois. « Si toute la surface est saturée avant les trois mois, il est préférable de l’enlever et d’en remettre un nouveau. Sinon, si ce n’est pas saturé, il peut faire trois mois. Mais au-delà des trois mois, la plaque va commencer à se dégrader », nous explique au téléphone un revendeur de ces pièges.

Richard Moné qui a fait le choix d’une agriculture biologique, utilise des pièges collants pour capturer les insectes ravageurs

Pour Richard Moné, le problème des pesticides chimiques est mal perçu par tout le monde, même les producteurs. « Ils savent que c’est dangereux pour leur environnement, et c’est faute d’alternative qu’ils sont obligés d’en utiliser », déplore-t-il. C’est pourquoi l’agronome assiste ceux qui désirent produire bio en leur proposant des échantillons de pièges à insectes afin qu’ils essayent.

Comme Richard Moné, Soumaila Zoundi utilise les pièges à glue jaune dans son petit champ d’environ un demi-hectare. Le jeune homme est agriculteur pendant l’hivernage. Dans la zone de Kienfangué, dans la commune de Komsilga, où il s’adonne à ses travaux champêtres, il affirme que les pièges à insectes lui facilitent la tâche. « Avant dans mon champ, je souffrais avec les insectes qui dévoraient les feuilles des plantes », nous fait-il savoir. L’autre raison qui a déterminé son choix d’utiliser les pièges à insectes est l’accessibilité des coûts par rapport aux autres méthodes dites naturelles.

Efficace contre les ravageurs et bon pour le rendement

Contrairement aux pesticides, les pièges collants ne contiennent pas de substances toxiques, préservant ainsi la santé des humains, des animaux domestiques et des insectes bénéfiques. Ils ne contaminent pas non plus le sol, l’eau ou l’air, évitant ainsi les problèmes de pollution associés aux pesticides chimiques.
Saturnin Zigani est agronome de formation spécialisé en gestion efficiente des ressources et protection des plantes, et promoteur des pièges à insectes. Il déclare que cette technique est très appropriée pour attraper les pucerons, les mineuses des feuilles, les thrips, les aleurodes, les moucherons, les mouches des agrumes, les mouches des fruits et autres insectes volants.

Selon l’agronome, en installant un grand nombre de pièges collants, il est possible de réduire significativement les populations d’insectes nuisibles dans une zone donnée, diminuant ainsi le besoin de pesticides chimiques. « Les effets sur les populations d’insectes sont bénéfiques sur l’écosystème global. Il faut aussi dire que l’effet durable des pièges est plus long par rapport aux pesticides », assure-t-il.
Ce dernier ajoute que lorsqu’ils sont utilisés correctement en combinaison avec d’autres pratiques contre les mauvaises herbes par exemple, les pièges à insectes peuvent améliorer les rendements agricoles en réduisant les pertes dues aux ravageurs.

Protège la santé et la nature

Les premières victimes de l’utilisation de produits chimiques restent les producteurs eux-mêmes. « Le piégeage des insectes permet d’éviter beaucoup de maladies. Je pense qu’il faut qu’on arrive à inverser cette tendance en produisant sain », suggère Richard Moné aux producteurs.

Les pièges à insectes ne capturent majoritairement que les insectes nuisibles

Selon les normes établies en matière d’agriculture biologique par le Conseil national de l’agriculture biologique (CNABio) dans son document sur la norme burkinabè en agriculture biologique édité en octobre 2013, la lutte contre les organismes nuisibles tels que les insectes doit être centrée sur les mesures dont les ingrédients ne doivent pas être des substances cancérogènes, tératogènes, mutagènes ou des neurotoxines.

Cependant, Dr Sylvain Ilboudo, chercheur toxicologue, affirme qu’un lien est clairement établi entre l’exposition chronique aux pesticides et les maladies comme les cancers, le diabète, les maladies neuro-dégénératives, les fausses couches et d’autres troubles de la fonction de reproduction. Repousser les insectes sans passer par les pesticides ne peut qu’être bénéfique pour la santé humaine et animale, selon le chercheur.

Chose surprenante avec le piège à glue, c’est qu’il ne capture pas les abeilles. Elles ne sont pas attirées par ces pièges. Ce constat qu’ont fait certains utilisateurs est très important pour l’équilibre de la biodiversité, car les abeilles contribuent à la pollinisation de 80% des espèces de plantes à fleurs et des plantes cultivées.

Un coût encore élevé

Même si le piège à glue fait ses preuves, Richard Moné pense qu’il faut travailler à réduire les prix des alternatives développées pour remplacer l’utilisation des pesticides. Par exemple, un lot de 50 pièges à insectes coûte environ 22 500 francs CFA, et il faut environ trois ou quatre lots pour un champ d’un hectare. « Avec les produits chimiques, pour une superficie d’un hectare, on aura à dépenser entre 10 000 ou 15 000 francs CFA pour un traitement. Cette différence peut amener les producteurs à faire ce choix », dit-il, en ajoutant que si de nombreux producteurs sont informés, ils comprendront mieux l’importance de récolter de la qualité.

Une solution partielle

Amadou Diallo, chef du service des pesticides au niveau de la Direction de la protection des végétaux et du conditionnement (DPVC), fait savoir qu’il existe effectivement des méthodes pour pallier en partie l’utilisation des pesticides. Cependant, il faut, selon lui, reconnaître qu’il y a certains types de nuisibles ou certaines maladies des végétaux qui, jusque-là, sont impossibles à traiter avec des alternatives autres que les pesticides.

« L’idée n’est pas de changer simplement, mais de changer avec quelque chose qui va permette de maintenir le niveau de production élevé », pense-t-il. Au niveau de son département, des méthodes comme la lutte intégrée sont développées pour prendre en compte toutes les méthodes naturelles. En fonction donc de chaque situation, la lutte intégrée orientera chaque producteur vers un choix qui résout sa difficulté dans la globalité.

Pour revenir aux pièges à insectes, Amadou Diallo indique que son efficacité dépend des types de ravageurs mis en cause. « Par exemple, pour la mouche des fruits, on utilise des pièges pour capturer un certain nombre, mais ces pièges à insectes sont initialement utilisés pour la surveillance des cultures », dit-il, expliquant que c’est pour déterminer le seuil d’infestation afin de savoir s’il faut déclencher une opération de riposte dans le champ.

Il ajoute que cette technique ne permet malheureusement pas de protéger de grandes superficies agricoles comme avec les pesticides. Les pièges à insectes collants seraient donc une alternative saine et biologique, mais ne suffisent pas à eux seuls pour remplacer un pesticide en cas de besoin. « Il ne faut pas tout rejeter. Il ne faut pas exclusivement utiliser des produits chimiques. Il faut plutôt essayer d’agencer l’ensemble pour trouver ce qui est mieux pour la rentabilité du producteur et ce qui est mieux pour la santé du consommateur », a-t-il proposé.

C’est également ce qu’affirme Dr Antoine Waongo, spécialiste de la protection et de la défense des cultures. La fonction première des pièges à insectes est essentiellement de faire le suivi et la détection des populations des insectes dans une zone, insiste-t-il. Il nous fait comprendre néanmoins que leur utilisation peut s’avérer très efficace dans une petite ou moyenne superficie d’exploitation.

« Si dans certains cas, il est aisé d’utiliser les pièges à glue pour un piégeage massif des insectes en raison de leur disponibilité et de leur accessibilité au niveau local, en revanche, certains pièges comme les pièges à phéromone ne peuvent être utilisés dans notre contexte pour une lutte à grande échelle, en raison du coût élevé de ce type de piège », précise le maître de recherches en entomologie, en poste au Centre de recherches environnementales, agricoles et de formation (CREAF) de Kamboinsé.

Les alternatives aux pesticides, telles que les pièges à insectes et les pratiques agroécologiques, peuvent soutenir des niveaux de production agricole compétitifs. Cependant, elles ont besoin d’être intégrées dans une approche globale de gestion des cultures. Elles nécessitent souvent plus de connaissances et de gestion proactive, mais offrent des avantages durables pour la santé humaine, environnementale et animale.

Farida Thiombiano

Culte d’action de grâce à l’Église Protestante Évangélique de Ouagadougou : l’importance de la reconnaissance envers Dieu

0

Le dimanche 12 janvier 2025, l’Église Protestante Évangélique de Ouagadougou (EPEO), située au quartier Wemtenga, a organisé un culte d’action de grâce. L’orateur du jour, Dr Sié Daniel KAMBOU, a enseigné sur « l’importance de la reconnaissance envers l’Éternel », exhortant les fidèles à adopter une attitude de gratitude dans leur marche chrétienne.

La reconnaissance : une valeur essentielle aux yeux de Dieu

S’appuyant sur le passage biblique de Luc 17:11-19, où Jésus guérit dix lépreux et un seul revient pour lui exprimer sa gratitude, Dr KAMBOU a souligné que la reconnaissance est précieuse aux yeux de Dieu. Jésus lui-même s’interroge : « Où sont les neuf autres ? ».

Pour illustrer davantage, l’orateur a évoqué l’exemple de Déborah, qui a chanté sa reconnaissance à Dieu après la victoire d’Israël, ainsi que celui de Marie, la mère de Jésus, qui a loué Dieu pour ses hauts faits. Ces exemples montrent que la reconnaissance n’est pas simplement un acte ponctuel, mais une attitude de vie que tout croyant doit adopter.

Dire merci à Dieu : un devoir chrétien

Dr KAMBOU a insisté sur l’importance pour les chrétiens de rendre grâce à Dieu en toutes circonstances :
« Tout ce que le Seigneur fait pour nous mérite notre gratitude. À chaque instant de notre vie, rendons continuellement grâce à Dieu, car il aime ceux qui sont reconnaissants. »

La reconnaissance par le service

L’homme de Dieu a conclu en rappelant que la meilleure façon d’exprimer sa gratitude envers Dieu est de le servir. Ce service peut se manifester dans nos engagements envers l’Église, nos frères et sœurs, et la communauté. Selon lui, « chaque fois que nous avons l’occasion de servir, n’hésitons pas, car les grandes bénédictions suivent ceux qui servent le Seigneur avec reconnaissance. »

Ce culte d’action de grâce a invité les fidèles à faire de la reconnaissance une priorité en 2025, en étant conscients des bénédictions de Dieu dans leur vie et en s’engageant à lui rendre gloire dans leurs paroles et leurs actes.