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mardi, 8 juillet 2025
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JP DU MERCREDI 23 NOVEMBRE 2022

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Les Titres du Journal

  • Les députés de l’Assemblée législative de transition ont, Le mardi 22 novembre 2022, procédé à l’élection des membres du bureau et à la mise en place des cinq commissions générales. L’ALT est désormais dotée de tous les organes pour pleinement jouer son rôle. 
  • La CODEL veut anticiper les elections a venir, elle a animé une conférence de presse le mardi 22 novembre 2022 à Ouagadougou avec pour objectif : dévoiler ses thématiques de plaidoyer des élections de 2024. Vous l’entendrez dans quelques minutes
  • Désormais les détenteurs burkinabè de passeports diplomatiques et de service, sans exception, qui sollicitent des visas au Consulat général de France à Ouagadougou, ne pourront plus s’adresser directement à la structure mais passer exclusivement par un prestataire privé. Une mesure entrée en vigueur le 2 novembre 2022 dernier

Présentation Rosalie SANA

JP DU MARDI 22 NOVEMBRE 2022

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Les Titres du journal

  • Contribution des sciences au développement humain c’est la thématique qui est au cœur d’une conférence à l’université de Koudougou et dont prennent part plus d’une centaine de chercheurs et d’enseignants. cette conférence devrait accoucher des solutions aux défis que connait le Burkina.
  • Relation France-Mali, le gouvernement de la transition Malienne sort de son silence, après l’annonce de la France de suspendre son aide au développement au Mali. Sans passée par 4 chemins pour répondre et une réponse avec effet immédiat le gouvernement de la transition du Mali a décidé d’interdire, avec effet immédiat, toutes les activités menées par les ONG opérant au Mali sur le financement ou avec l’appui matériel ou technique de la France, y compris dans le domaine humanitaire.

Présentation Rosalie SANA

27e Journée internationale de la tolérance : Une valeur humaine cardinale dont la promotion est plus que jamais d’actualité

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16 novembre 1995-16 novembre 2022, voilà vingt-sept (27) ans qu’est commémorée la Journée internationale de la tolérance suite à l’adoption, par les Etats membres de l’UNESCO, d’une déclaration de principes sur la tolérance. L’Association pour la tolérance religieuse et le dialogue interreligieux (ATR/DI) saisit cette opportunité pour interpeler l’opinion publique sur le caractère impérieux de promouvoir la tolérance sous ses diverses dimensions religieuse, politique, culturelle, etc.

Pour mémoire, l’initiative de l’UNESCO est intervenue au lendemain de deux (02) tragédies en Afrique : d’abord suite à l’assassinat, le 21 octobre 1993, du président burundais Melchior Ndadaye, un génocide de plus de cent mille (100 000) Tutsis en moins d’un (01) mois est commis qui a débouché sur une guerre civile ; ensuite, le 6 avril 1994, le président rwandais, Juvénal Habyarimana, est tué dans un attentat contre son avion personnel.

Un génocide d’environ huit cent mille (800 000) Tutsi est perpétré en l’espace de quatre (04) mois. Les années 1993 et 1994 sont donc des années de génocide en Afrique et particulièrement dans la région des Grands Lacs. Même s’il n’y a pas une relation de cause à effet évidente entre ces génocides et l’adoption du 16-Novembre comme la Journée internationale de la tolérance, ces tragédies ont probablement leur part de raison dans cette décision.

De nos jours, les génocides ne sont certes plus des préoccupations immédiates mais le monde et, singulièrement, notre continent vivent hélas dans l’ère de la radicalisation et de l’extrémisme violent caractérisée par l’effritement des relations intercommunautaires et interconfessionnelles, les replis identitaires, la constitution de groupes transnationaux armés qui sèment la mort et la désolation et dont l’intention avouée est d’imposer leur religion aux adeptes des autres religions ou d’obliger leurs coreligionnaires à adopter les préceptes et les pratiques de leur courant doctrinal.

Ainsi, en Afrique de l’Ouest, les morts et les blessés se comptent par dizaines de milliers, les personnes déplacées internes par millions, les infrastructures socio-économiques détruites ou fermées par dizaines de milliers… L’autre conséquence de cette situation marquée par le terrorisme est la crise humanitaire qui frappe des dizaines de millions de personnes.

Ce tableau plus que sombre renforce l’impérativité de la promotion de la tolérance à l’échelle mondiale, africaine, régionale et nationale. En rappel, la tolérance est la valeur qui conduit la personne humaine à avoir du respect pour ce qu’elle n’admettrait pas instinctivement, par exemple lorsque cela est différent ou va à l’encontre de ses propres traditions, coutumes, convictions.

Elle est un ingrédient nécessaire à la démocratie en ce que l’exercice de tout droit et de toute liberté exige en contrepartie un devoir de tolérance vis-à-vis de la jouissance, par autrui, de sa liberté et de son droit. Cependant, même s’il ne faut pas haïr l’intolérant, il faut faire preuve de vigilance à son endroit et œuvrer de sorte qu’il adopte des comportements tolérants.

Pour le Burkina Faso qui est un pays multiethnique où vivent près de soixante-dix (70) groupes socio-ethniques et pluriconfessionnels avec une dizaine de religions (dont les principales sont, par ordre alphabétique, le christianisme, l’islam et les religions traditionnelles), l’existence de la République et la construction de l’Etat-nation ne sont possibles sans une bonne dose de tolérance au sein de la collectivité politique.

Dans cette optique, tous ceux qui détiennent une part de pouvoir ou d’autorité (chefs traditionnels et coutumiers, leaders religieux, responsables politiques et administratifs, opérateurs économiques…) ont, à n’en pas douter, un devoir d’exemplarité. Ce devoir d’exemplarité est d’autant plus à l’ordre du jour que les autorités de la Transition, à travers la charte, en font, à juste titre, leur cheval de bataille.

Fait à Ouagadougou, le 16 octobre 2022

Pour l’ATR/DI, le Secrétaire Permanent
Drissa Modeste SESSOUMA

Rencontre avec les VDP : Le Chef de l’Etat appelle à l’union et au professionnalisme

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(Ouagadougou, 16 novembre 2022). Le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a eu une rencontre avec les Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), l’après-midi du mardi 15 novembre, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.

D’entrée de jeu, le Capitaine Ibrahim TRAORE a félicité et remercié les Volontaires pour la défense de la Patrie pour le sacrifice qu’ils consentent dans plusieurs zones du Burkina Faso en vue de contribuer à la sauvegarde de la Patrie.

Au cours des échanges qui ont porté essentiellement sur la contribution des VDP au combat que mène le pays contre les groupes armés terroristes, le Chef de l’Etat a appelé ces ‘’défenseurs de la patrie’’ à s’unir entre eux d’une part et avec les forces de défense et sécurité d’autre part. « Désormais, c’est ensemble qu’on va agir », a rappelé le Président de la Transition.

L’action de ces VDP devrait aussi s’inscrire dans le professionnalisme afin de contribuer efficacement à atteindre les résultats de la lutte engagée. « Restez unis et solidaires avec les Forces de défense et de sécurité », a insisté le Chef de l’Etat qui a invité les VDP à partager leurs expériences surtout avec les nouveaux qui vont rejoindre les rangs bientôt.

Reconnaissant l’urgence des besoins et celle d’agir, le Président de la Transition a rassuré l’ensemble des participants que tout est en train d’être mis en œuvre afin de leur permettre d’être opérationnels et efficaces dans l’action. Il les a appelés à redoubler de vigilance, à changer les habitudes et à cultiver l’esprit d’initiative dans leur action au quotidien.

Les préoccupations soulevées par les participants sont liées au matériel et à la logistique de façon générale, à la couverture du territoire par les FDS, au ratissage des zones fortement infestées à travers des opérations spéciales de l’armée avant l’installation des VDP, à l’adhésion des populations à la lutte.

Le Président de la Transition a promis que toutes ces préoccupations trouveront des solutions adéquates et durables à travers une stratégie concertée et murie.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Burkina Faso : Le Chef de l’Etat Ibrahim Traoré décide de garder son salaire de Capitaine

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(Ouagadougou, 16 novembre 2022). Le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a présidé ce mercredi, l’hebdomadaire Conseil des ministres. Le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Porte-parole du Gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo, a fait le point à l’issue des travaux du Conseil. Il était accompagné du ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité, Boukaré ZOUNGRANA et du ministre de la Santé et d’l’Hygiène publique, Robert Lucien Jean-Claude KARGOUGOU.

Le Conseil a adopté un décret portant rémunération du Chef de l’Etat, du Premier ministre, des Présidents d’institution et des membres du Gouvernement. « A ce niveau, le Conseil des ministres a décidé de l’abrogation du décret d’avril 2022. Cette abrogation consacre le retour aux dispositions du décret de 2008 », a déclaré le Porte-parole du Gouvernement.

« Nonobstant les dispositions de ce décret 2008, le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a décidé de garder son salaire de Capitaine », a soutenu le Porte-parole du Gouvernement qui a souligné que le Chef de l’Etat a pris cette décision pour « montrer cet esprit de sacrifice qui doit habiter chacun des Burkinabè dans la situation actuelle de notre pays ».

Dans cette même dynamique, les ministres ont également décidé de consacrer 50% de leurs salaires du mois de novembre à la Caisse nationale de solidarité au profit des personnes en difficulté notamment les personnes déplacées internes.

Outre ce décret, plusieurs autres ont été adoptés au cours de ce Conseil. Il s’agit entre autres du décret portant statut des Volontaires pour la défense et de la patrie (VDP), du décret portant création d’une brigade pour les VDP, du décret portant statut particulier du Laboratoire national de santé publique qui devient Agence nationale de sécurité alimentaire, de l’environnement, de l’alimentation et du travail, du décret portant approbation d’un marché pour la construction d’infrastructures sanitaires dans la région des Hauts- Bassins.

Selon le ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité, Boukaré ZOUNGRANA, l’adoption des décrets relatifs aux VDP répond à la nécessité de s’adapter au changement de concept d’emploi des VDP. « Ces deux décrets permettront aux VDP d’accomplir leurs missions dans de bonnes conditions », a indiqué le ministre en charge de la sécurité.

Pour le ministre en charge de la Santé, Robert Lucien Jean-Claude KARGOUGOU, l’adoption du décret portant statut particulier de l’Agence nationale de sécurité alimentaire, de l’environnement, de l’alimentation et du travail va permettre à cette Agence de se conformer à la réglementation et surtout de contrôler la sécurité sanitaire des aliments, de l’environnement au profit des populations.

Au cours de ce Conseil, le ministre en charge de la santé a également fait le point sur l’évolution de la situation au Centre hospitalier universitaire de Tengandogo où des agents avaient été agressés la semaine dernière.

Tout en souhaitant prompt rétablissement aux blessés, « le Conseil a salué la résilience des agents de santé et aussi le caractère collaboratif des partenaires sociaux et des ordres professionnels avec lesquelles des concertations ont eu lieu dans la perspective d’adopter des mesures urgentes pour prévenir la survenue de telles situations », a soutenu le ministre KARGOUGOU.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Journal du lundi 15 Novembre 2022

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  • L’Union européenne a lancé un pont humanitaire visant à transporter en trois mois, entre 400 et 800 tonnes de vivres et de non vivres aux populations burkinabè vivant sous blocus terroriste.

  • L’Assemblée législative de Transition, s’est doté d’un règlement intérieur. Une nouvelle loi qui doit régir l’organisation et le fonctionnement de l’ALT. 
  • Faut-il oui ou non maintenir la semaine nationale de la culture édition 2022 a la date prévue ? Des échanges ont eu lieu hier 14 novembre à ce propos. 

PRESENTATION: LILIANE DERA

Burkina : L’UE ambitionne livrer entre 400 et 800 tonnes de vivres et de non vivres aux populations sous blocus terroriste

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L’Union européenne a lancé un pont humanitaire visant à transporter en trois mois, entre 400 et 800 tonnes de vivres et de non vivres aux populations burkinabè vivant sous blocus terroriste. Cette information a été transmise sur la page Facebook de l’UE, ce 14 novembre 2022.

Elle est axée sur l’aide alimentaire, la santé, la nutrition, la protection, les abris d’urgence, l’accès à l’eau et à l’assainissement, la protection des personnes dans le besoin.

En rappel, cette aide humanitaire a été lancée par le Commissaire européen chargé de la gestion des crises, Janez Lenarčič

’’Notre budget d’aide humanitaire pour le pays a plus que doublé depuis le début de l’année. Compte tenu de la détérioration de la situation humanitaire, nous venons de débloquer 2,5 millions d’euros supplémentaires pour répondre rapidement aux besoins d’abris des populations nouvellement déplacées et pour la fourniture d’articles de première nécessité. Notre aide humanitaire est fondée sur les principes d’humanité, d’impartialité, de neutralité et d’indépendance – et continuera de l’être – indépendamment de toute considération politique », a-t -il justifié.

Il faut noter que selon les Nations Unies, un million de personnes vivent dans des zones sous blocus au Burkina Faso .

Journée mondiale du diabète 2022 : L’accès aux soins au cœur de la célébration

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Le 14 novembre de chaque année est célébrée la journée mondiale du diabète. Pour cette année 2022, c’est sous le thème “Accès aux soins du diabète”, que le ministère de la Santé et ses partenaires, dont l’ONG Santé diabète, célèbrent la journée.

Avec un taux de prévalence de 4,9%, soit environ un million de personnes atteintes selon l’enquête STEPS de 2021, le Burkina Faso n’échappe pas au fléau du diabète. La maladie connaît une constante progression aussi bien dans notre pays qu’ailleurs en Afrique. Le nombre de personnes atteintes de diabète en Afrique devrait en effet passer de 24 millions en 2021 à 33 millions en 2035 et à 55 millions en 2045.
Si la maladie progresse, malheureusement l’accès aux soins demeure elle, problématique pour des millions de malades du diabète. D’où le thème : « Accès aux soins du diabète » retenu pour la campagne 2021-2023 par la Fédération internationale du diabète.

Les journalistes présents à la rencontre

Selon Dr Josiane Bouda, cheffe de projet prévention et appui à la société civile à l’ONG Santé diabète, à travers ce thème, il s’agit d’attirer l’attention sur les problèmes d’accès aux éléments fondamentaux des soins du diabète qui comprennent l’accès à l’insuline, l’accès à l’auto surveillance de la glycémie, l’accès aux médicaments administrés par voie orale, l’accès à une alimentation saine et à l’activité physique, ainsi que l’accès à l’éducation et au soutien psychologique.

« Aujourd’hui encore, nous avons près de 30 millions de diabétiques dans le monde qui n’ont pas accès aux traitements. C’est déplorable et le problème est encore plus crucial au Burkina avec le problème de l’insécurité. Nous faisons au mieux pour que les diabétiques au Burkina puissent avoir leurs produits, peu importe l’endroit où ils sont. Mais il faut savoir que le coût du traitement du diabète est aussi très élevé. La conservation des médicaments est problématique. Faire venir les intrants est aussi un vrai problème. Nous luttons pour faciliter l’accès aux soins aux diabétiques », a indiqué Dr Bouda.

Dr Josiane Bouda a souligné qu’environ 30 millions de personnes n’ont pas accès aux traitements contre le diabète

Intégrer la lutte contre le diabète dans la lutte globale contre les maladies non transmissibles

A l’occasion de la célébration de la journée mondiale du diabète, Dr Marie Emmanuelle Zouré, directrice de la prévention et du contrôle des maladies non transmissibles a fait un exposé sur les maladies non transmissibles dont fait partie le diabète. Elle a rappelé que les maladies non transmissibles qui sont des maladies chroniques, partagent les mêmes facteurs de risque. Travailler à éviter l’un permet aussi d’éviter les autres.

Les principales maladies transmissibles sont les maladies cardiovasculaires, les cancers, les maladies respiratoires chroniques et le diabète. Les facteurs de risques communs à ces maladies sont classés en deux catégories : les facteurs non modifiables et les facteurs modifiables. Les facteurs non modifiables concernent l’âge, le sexe et la génétique. Les facteurs modifiables concernent la mauvaise alimentation, la consommation d’aliments chargés en sucres, sels et matières grasses, la consommation insuffisante de fruits et légumes, la sédentarité et inactivité physique, l’usage nocif de l’alcool, tabagisme et les facteurs environnementaux.

Dr Marie Emmanuelle Zouré invite les populations à adopter un mode de vie sain pour éviter le diabète

Ce sont des maladies qui dans les pays développés touchent généralement des personnes âgées. Mais au Burkina Faso, ces maladies dites du sujet âgé, touchent malheureusement de nombreux jeunes. D’où l’intérêt selon Dr Zouré, de prévenir et de dépister assez tôt ces maladies.

Et pour prévenir ces maladies, il convient d’adopter un mode de vie sain. « Il faut manger peu gras, peu sucré, peu salé, ne pas consommer de tabac, d’alcool, pratiquer une activité physique régulière et se faire dépister régulièrement », a laissé entendre Dr Zouré.

Journal du lundi 14 Novembre 2022

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  • L’ensemble artistique viens et vois présente les yilsomyan Awards. 4eme du genre la cérémonie s’est tenu le dimanche 13 novembre 2022 au cenasa à Ouagadougou.
  • Rencontre avec les acteurs de la société, initiée par le Chef de l’Etat. Une opportunité d’échanges francs sur ce qui se passe au Burkina Faso, afin qu’ils comprennent la situation actuelle du pays et la direction que les nouvelles autorités comptent prendre pour la reconquête du territoire national.

PRESENTATION: LILIANE DERA

Journal parlé du lundi 31 Octobre 2022

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PRESENTATION: LILIANE DERA