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dimanche, 6 juillet 2025
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Nahouri : Une fédération évangélique offre des vivres aux personnes déplacées internes

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Image d'illustration

La Fédération des églises et missions évangéliques (FEME) du Nahouri, a offert des vivres, le vendredi 10 janvier 2025 à Pô, aux Personnes déplacées internes (PDI) de la province du Nahouri. C’est le haut-commissaire de la province du Nahouri, Auguste Kinda, qui a réceptionné le don.

Les Personnes déplacées internes (PDI) de la province du Nahouri, ont bénéficié le vendredi 10 janvier 2025, des vivres offerts par la Fédération des églises et missions évangéliques (FEME) du Nahouri.

Le donc est composé de 80 sacs de riz de 25 kg, 10 cartons de savon CITEC et 7 bidons d’huile de 20 litres.

Pour le président de la FEME, Pasteur Luc Piouyiri, être PDI n’est pas un choix mais une situation du monument qui impose cela.

« Nous avons décidé de venir en aide à ces personnes qui ont quitté leur localité par la force des choses et cela se justifie par deux raisons qui sont la recommandation du seigneur Jésus Christ et le désir et la volonté du gouvernement Burkinabè invitant toutes les communautés à soutenir ces PDI », a-t-il indiqué.

La représentante des PDI, Christine Bassorobou, a remercié les donateurs pour le don.

« Nous témoignons notre reconnaissance aux autorités et toutes les populations pour l’accueil chaleureux dont nous avons bénéficié depuis notre arrivée. Notre souhait est que la paix revienne afin que nous puissions retrouver nos localités respectives», a indiqué Mme Bassorobou.

Le haut-commissaire de la province du Loroum, Auguste Kinda, a salué le caractère humanitaire de ce don.

Il a invité les responsables de la FEME et toutes les autres confessions de continuer à prier pour le retour de la paix, la cohésion sociale au Burkina.

Après la remise du don, la délégation de la FEME a prié pour les autorités du Burkina afin qu’elles aient les forces nécessaires pour conduire les destinées du pays.

Burkina Faso/ Agriculture biologique : Des pièges collants pour atténuer l’utilisation des pesticides chimiques

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Au Burkina Faso, l’utilisation des pesticides chimiques pour lutter contre les insectes ravageurs en agriculture est en constante augmentation. Cependant, de nombreux cas d’intoxication alimentaire, parfois mortels, causés par ces substances ont été enregistrés, posant un grave problème de santé publique. Face à cette menace, certains agriculteurs se tournent vers des méthodes naturelles, telles que les pièges collants. Cette alternative permet-elle de promouvoir une agriculture plus saine et respectueuse de l’environnement ?

Le rapport de “Atlas des pesticides” publié en 2023 par un collectif d’organisations écologistes européennes indique que, chaque année, 385 millions de personnes sont victimes d’empoisonnement par les pesticides chimiques. Selon cette étude, l’on peut être exposé à son insu aux pesticides chimiques dans différentes situations : dans les champs, en forêt, en mangeant ou en buvant de l’eau. Certains effets se manifestent immédiatement, tandis que d’autres peuvent survenir au bout de plusieurs heures.

Au Burkina Faso, la journée du 24 août 2019 restera à jamais gravée dans la mémoire de la famille Bakuan. D’une cérémonie de réjouissance à une série de deuils, cette famille vivra un drame. À l’occasion d’une présentation de famille, un plat traditionnel à base de petit mil, le « gonré », est au menu. Malheureusement, tous ceux qui ont goûté à ce repas seront intoxiqués.

Le chef de famille, une de ses épouses, ses enfants et des petits-fils perdent la vie. Clément Bakuan est un des fils du défunt père. Nous l’avons retrouvé à Lapio où le drame a eu lieu. C’est dans la commune de Dydir, à environ 150 kilomètres de Ouagadougou. Ce jour-là, une panne de sa motocyclette l’empêche de rentrer à temps pour les festivités, ce qui l’a probablement épargné de la mort.

Clément Bakuan montrant le grenier où étaient stockés les vivres avant le drame

« Notre père a été enterré ici. Les autres corps ont été inhumés dans différents cimetières. Au total, treize personnes sont décédées », indique Clément Bakuan. Selon lui, aucune explication ne leur a été donnée à ce jour sur les causes du drame. Pourtant, à l’époque des faits, l’hypothèse d’une exposition aux pesticides chimiques est clairement énoncée dans les médias par les autorités sanitaires. Des drames similaires se sont reproduits plus tard dans d’autres localités

La loi 026-62017/AN portant contrôle de la gestion des pesticides au Burkina Faso, dans son chapitre 9, stipule que tout utilisateur de pesticides doit respecter les prescriptions requises et s’informer des risques sur la sécurité, la santé humaine, la santé animale et sur l’environnement.

En dépit du fait que, dans le cas du drame survenu à Lapio, les autorités sanitaires aient évoqué une intoxication aux pesticides, aucune mesure d’urgence n’a été prise pour prévenir de tels incidents. Face au danger que représentent les pesticides chimiques, certains producteurs se sont alors orientés vers l’agriculture biologique. Ces derniers tentent d’utiliser des alternatives naturelles en fonction de leurs connaissances et de leurs moyens. C’est le cas des pièges collants ou pièges à glue, à la fois utilisés pour protéger les champs des insectes ravageurs et produire sain.

Tableau :

La colle et la couleur, deux éléments clés

Les pièges collants ou pièges à glue utilisent des surfaces adhésives pour capturer les insectes. Les agriculteurs l’apprécient en raison de sa facilité d’installation et d’entretien. De plus, ils peuvent être placés dans divers environnements, notamment les cultures en champ, les serres et même les jardins domestiques. Une fois mis en place, les pièges nécessitent peu d’entretien et doivent être remplacés ou nettoyés périodiquement, ce qui est relativement simple.

À quelques kilomètres de la capitale, dans la commune de Loumbila, Richard Moné s’affaire avec ses fermiers dans son champ de piment. À cette période chaude de l’année, cet ingénieur agronome doit redoubler d’efforts pour s’assurer une bonne récolte. Quand il a commencé à produire dans sa ferme de trois hectares, il avait pour objectif de faire de l’agriculture biologique. Mais c’était sans compter avec l’avidité des insectes ravageurs qui détruisent ses cultures.

Pour atteindre son objectif, il fait recours au piège collant. « Ce sont des plaques en plastiques biodégradables sur lesquelles on a mis de la colle. La plaque en plastique a des couleurs bien données en fonction du type d’insectes que l’on veut capturer. Les chercheurs ont remarqué que certaines couleurs comme le jaune, le bleu et le gris attirent les insectes. Mais la couleur jaune est la couleur qui attire le plus grand spectre d’insectes », explique Richard Moné.

Les insectes qui se déposent sur ces plaques, y restent et cela lui évite de faire des traitements chimiques pour les éliminer ou les repousser. Pour plus d’efficacité, il faut en placer un certain nombre avec des distances bien déterminées.

Un outil simple et facile à utiliser

Le piège à glue est imperméable à l’eau, donc très pratique pendant la saison des pluies. En fonction de la pression parasitaire de l’environnement, sa durée d’utilisation peut atteindre trois mois. « Si toute la surface est saturée avant les trois mois, il est préférable de l’enlever et d’en remettre un nouveau. Sinon, si ce n’est pas saturé, il peut faire trois mois. Mais au-delà des trois mois, la plaque va commencer à se dégrader », nous explique au téléphone un revendeur de ces pièges.

Richard Moné qui a fait le choix d’une agriculture biologique, utilise des pièges collants pour capturer les insectes ravageurs

Pour Richard Moné, le problème des pesticides chimiques est mal perçu par tout le monde, même les producteurs. « Ils savent que c’est dangereux pour leur environnement, et c’est faute d’alternative qu’ils sont obligés d’en utiliser », déplore-t-il. C’est pourquoi l’agronome assiste ceux qui désirent produire bio en leur proposant des échantillons de pièges à insectes afin qu’ils essayent.

Comme Richard Moné, Soumaila Zoundi utilise les pièges à glue jaune dans son petit champ d’environ un demi-hectare. Le jeune homme est agriculteur pendant l’hivernage. Dans la zone de Kienfangué, dans la commune de Komsilga, où il s’adonne à ses travaux champêtres, il affirme que les pièges à insectes lui facilitent la tâche. « Avant dans mon champ, je souffrais avec les insectes qui dévoraient les feuilles des plantes », nous fait-il savoir. L’autre raison qui a déterminé son choix d’utiliser les pièges à insectes est l’accessibilité des coûts par rapport aux autres méthodes dites naturelles.

Efficace contre les ravageurs et bon pour le rendement

Contrairement aux pesticides, les pièges collants ne contiennent pas de substances toxiques, préservant ainsi la santé des humains, des animaux domestiques et des insectes bénéfiques. Ils ne contaminent pas non plus le sol, l’eau ou l’air, évitant ainsi les problèmes de pollution associés aux pesticides chimiques.
Saturnin Zigani est agronome de formation spécialisé en gestion efficiente des ressources et protection des plantes, et promoteur des pièges à insectes. Il déclare que cette technique est très appropriée pour attraper les pucerons, les mineuses des feuilles, les thrips, les aleurodes, les moucherons, les mouches des agrumes, les mouches des fruits et autres insectes volants.

Selon l’agronome, en installant un grand nombre de pièges collants, il est possible de réduire significativement les populations d’insectes nuisibles dans une zone donnée, diminuant ainsi le besoin de pesticides chimiques. « Les effets sur les populations d’insectes sont bénéfiques sur l’écosystème global. Il faut aussi dire que l’effet durable des pièges est plus long par rapport aux pesticides », assure-t-il.
Ce dernier ajoute que lorsqu’ils sont utilisés correctement en combinaison avec d’autres pratiques contre les mauvaises herbes par exemple, les pièges à insectes peuvent améliorer les rendements agricoles en réduisant les pertes dues aux ravageurs.

Protège la santé et la nature

Les premières victimes de l’utilisation de produits chimiques restent les producteurs eux-mêmes. « Le piégeage des insectes permet d’éviter beaucoup de maladies. Je pense qu’il faut qu’on arrive à inverser cette tendance en produisant sain », suggère Richard Moné aux producteurs.

Les pièges à insectes ne capturent majoritairement que les insectes nuisibles

Selon les normes établies en matière d’agriculture biologique par le Conseil national de l’agriculture biologique (CNABio) dans son document sur la norme burkinabè en agriculture biologique édité en octobre 2013, la lutte contre les organismes nuisibles tels que les insectes doit être centrée sur les mesures dont les ingrédients ne doivent pas être des substances cancérogènes, tératogènes, mutagènes ou des neurotoxines.

Cependant, Dr Sylvain Ilboudo, chercheur toxicologue, affirme qu’un lien est clairement établi entre l’exposition chronique aux pesticides et les maladies comme les cancers, le diabète, les maladies neuro-dégénératives, les fausses couches et d’autres troubles de la fonction de reproduction. Repousser les insectes sans passer par les pesticides ne peut qu’être bénéfique pour la santé humaine et animale, selon le chercheur.

Chose surprenante avec le piège à glue, c’est qu’il ne capture pas les abeilles. Elles ne sont pas attirées par ces pièges. Ce constat qu’ont fait certains utilisateurs est très important pour l’équilibre de la biodiversité, car les abeilles contribuent à la pollinisation de 80% des espèces de plantes à fleurs et des plantes cultivées.

Un coût encore élevé

Même si le piège à glue fait ses preuves, Richard Moné pense qu’il faut travailler à réduire les prix des alternatives développées pour remplacer l’utilisation des pesticides. Par exemple, un lot de 50 pièges à insectes coûte environ 22 500 francs CFA, et il faut environ trois ou quatre lots pour un champ d’un hectare. « Avec les produits chimiques, pour une superficie d’un hectare, on aura à dépenser entre 10 000 ou 15 000 francs CFA pour un traitement. Cette différence peut amener les producteurs à faire ce choix », dit-il, en ajoutant que si de nombreux producteurs sont informés, ils comprendront mieux l’importance de récolter de la qualité.

Une solution partielle

Amadou Diallo, chef du service des pesticides au niveau de la Direction de la protection des végétaux et du conditionnement (DPVC), fait savoir qu’il existe effectivement des méthodes pour pallier en partie l’utilisation des pesticides. Cependant, il faut, selon lui, reconnaître qu’il y a certains types de nuisibles ou certaines maladies des végétaux qui, jusque-là, sont impossibles à traiter avec des alternatives autres que les pesticides.

« L’idée n’est pas de changer simplement, mais de changer avec quelque chose qui va permette de maintenir le niveau de production élevé », pense-t-il. Au niveau de son département, des méthodes comme la lutte intégrée sont développées pour prendre en compte toutes les méthodes naturelles. En fonction donc de chaque situation, la lutte intégrée orientera chaque producteur vers un choix qui résout sa difficulté dans la globalité.

Pour revenir aux pièges à insectes, Amadou Diallo indique que son efficacité dépend des types de ravageurs mis en cause. « Par exemple, pour la mouche des fruits, on utilise des pièges pour capturer un certain nombre, mais ces pièges à insectes sont initialement utilisés pour la surveillance des cultures », dit-il, expliquant que c’est pour déterminer le seuil d’infestation afin de savoir s’il faut déclencher une opération de riposte dans le champ.

Il ajoute que cette technique ne permet malheureusement pas de protéger de grandes superficies agricoles comme avec les pesticides. Les pièges à insectes collants seraient donc une alternative saine et biologique, mais ne suffisent pas à eux seuls pour remplacer un pesticide en cas de besoin. « Il ne faut pas tout rejeter. Il ne faut pas exclusivement utiliser des produits chimiques. Il faut plutôt essayer d’agencer l’ensemble pour trouver ce qui est mieux pour la rentabilité du producteur et ce qui est mieux pour la santé du consommateur », a-t-il proposé.

C’est également ce qu’affirme Dr Antoine Waongo, spécialiste de la protection et de la défense des cultures. La fonction première des pièges à insectes est essentiellement de faire le suivi et la détection des populations des insectes dans une zone, insiste-t-il. Il nous fait comprendre néanmoins que leur utilisation peut s’avérer très efficace dans une petite ou moyenne superficie d’exploitation.

« Si dans certains cas, il est aisé d’utiliser les pièges à glue pour un piégeage massif des insectes en raison de leur disponibilité et de leur accessibilité au niveau local, en revanche, certains pièges comme les pièges à phéromone ne peuvent être utilisés dans notre contexte pour une lutte à grande échelle, en raison du coût élevé de ce type de piège », précise le maître de recherches en entomologie, en poste au Centre de recherches environnementales, agricoles et de formation (CREAF) de Kamboinsé.

Les alternatives aux pesticides, telles que les pièges à insectes et les pratiques agroécologiques, peuvent soutenir des niveaux de production agricole compétitifs. Cependant, elles ont besoin d’être intégrées dans une approche globale de gestion des cultures. Elles nécessitent souvent plus de connaissances et de gestion proactive, mais offrent des avantages durables pour la santé humaine, environnementale et animale.

Farida Thiombiano

Culte d’action de grâce à l’Église Protestante Évangélique de Ouagadougou : l’importance de la reconnaissance envers Dieu

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Le dimanche 12 janvier 2025, l’Église Protestante Évangélique de Ouagadougou (EPEO), située au quartier Wemtenga, a organisé un culte d’action de grâce. L’orateur du jour, Dr Sié Daniel KAMBOU, a enseigné sur « l’importance de la reconnaissance envers l’Éternel », exhortant les fidèles à adopter une attitude de gratitude dans leur marche chrétienne.

La reconnaissance : une valeur essentielle aux yeux de Dieu

S’appuyant sur le passage biblique de Luc 17:11-19, où Jésus guérit dix lépreux et un seul revient pour lui exprimer sa gratitude, Dr KAMBOU a souligné que la reconnaissance est précieuse aux yeux de Dieu. Jésus lui-même s’interroge : « Où sont les neuf autres ? ».

Pour illustrer davantage, l’orateur a évoqué l’exemple de Déborah, qui a chanté sa reconnaissance à Dieu après la victoire d’Israël, ainsi que celui de Marie, la mère de Jésus, qui a loué Dieu pour ses hauts faits. Ces exemples montrent que la reconnaissance n’est pas simplement un acte ponctuel, mais une attitude de vie que tout croyant doit adopter.

Dire merci à Dieu : un devoir chrétien

Dr KAMBOU a insisté sur l’importance pour les chrétiens de rendre grâce à Dieu en toutes circonstances :
« Tout ce que le Seigneur fait pour nous mérite notre gratitude. À chaque instant de notre vie, rendons continuellement grâce à Dieu, car il aime ceux qui sont reconnaissants. »

La reconnaissance par le service

L’homme de Dieu a conclu en rappelant que la meilleure façon d’exprimer sa gratitude envers Dieu est de le servir. Ce service peut se manifester dans nos engagements envers l’Église, nos frères et sœurs, et la communauté. Selon lui, « chaque fois que nous avons l’occasion de servir, n’hésitons pas, car les grandes bénédictions suivent ceux qui servent le Seigneur avec reconnaissance. »

Ce culte d’action de grâce a invité les fidèles à faire de la reconnaissance une priorité en 2025, en étant conscients des bénédictions de Dieu dans leur vie et en s’engageant à lui rendre gloire dans leurs paroles et leurs actes.

Burkina: Le centre clinique de Nanoro teste avec succès un candidat vaccin contre le paludisme

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Dans un communiqué conjoint, l’Unité de recherches cliniques de Nanoro-Institut de recherche en sciences de la santé et le Département de biochimie de l’Université d’Oxford, consulté par Libreinfo.net, annoncent des résultats d’un essai clinique sur un nouveau candidat vaccin contre le paludisme (RH5.1/Matrix-MTM). Lesquels résultats montrent que le candidat vaccin est bien toléré et offre une protection efficace contre le stade sanguin de la maladie.

L’Unité de recherches cliniques de Nanoro-Institut de recherche en sciences de la santé et le Département de biochimie de l’Université d’Oxford annoncent des avancées significatives dans les recherches contre le paludisme.

Selon le communiqué, les résultats d’un essai clinique sur un nouveau candidat vaccin contre le paludisme (RH5.1/Matrix-MTM) montrent qu’il est bien toléré et offre une protection efficace contre le stade sanguin de la maladie, une première dans l’histoire des vaccins antipaludiques.

Le paludisme, causé par le plasmodium falciparum, est l’une des principales causes de mortalité chez les enfants de moins de cinq ans dans de nombreuses régions d’Afrique.

La présente étude, selon le communiqué, a été menée par des chercheurs de l’Université d’Oxford en collaboration avec l’Unité de recherches cliniques de Nanoro (URCN) qui relève de l’Institut de recherche en sciences de la santé (IRSS) au Burkina, de la London School of Hygiene and Tropical Medicine (LSHTM) au Royaume-Uni et la National Institute of Health (NIH) aux États-Unis.

L’équipe de recherche a testé la sécurité et l’efficacité du candidat vaccin contre le paludisme au stade sanguin RH5.1/Matrix-MTM chez des enfants burkinabè âgés de 5 à 17 mois à Nanoro.

Cet essai fait suite aux résultats positifs obtenus en phase I chez des adultes et des enfants tanzaniens.

Les résultats, publiés aujourd’hui dans la Révue Scientifique The Lancet Infectious Diseases montrent que le vaccin a été bien toléré et ne présente aucun problème de sécurité.

Les enfants ayant reçu le vaccin ont développé des niveaux élevés d’anticorps contre le parasite, en particulier ceux qui ont reçu leurs doses de vaccin à 0, 1 et 5 mois comparativement à ceux qui ont reçu leur 3 doses à 0, 1 et 2 mois.

Ce groupe a atteint une efficacité de 55 % contre le paludisme clinique sur une période de 6 mois.

De plus, le vaccin a également démontré une efficacité de plus de 80% contre des épisodes cliniques accompagnés de forte parasitémie.

Cela suggère que ce vaccin pourrait prévenir les cas graves du paludisme chez les enfants. Ces résultats serviront de base pour de futurs essais cliniques visant à développer la deuxième génération de vaccins antipaludiques.

Cependant, il arrive que certains parasites passent à travers le filet, et la maladie se développe car ni RTS,S ni R21 n’ont aucune activité protectrice contre le paludisme de stade sanguin.

Halidou Tinto, chercheur parasitologue et Directeur régional de l’Institut de recherche en sciences de la santé (IRSS), a déclaré à propos de ces résultats : « Il est reconnu que les infections fréquentes par le plasmodium et le paludisme nuisent à la croissance et au développement normal d’un enfant. Protéger contre le stade sanguin aide à garantir que les enfants peuvent grandir en meilleure santé et avoir de meilleurs résultats éducatifs et développementaux.»

Journal parlé RED du mercredi 12 décembre 2024

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Le sommaire du journal

La Fédération des Eglises et Missions évangéliques (FEME), en collaboration avec La Foi Vient en Écoutant et ses partenaires, ont initié une campagne urbaine d’écoute biblique communautaire. Dénommée “Défi Écoute 60 Ouaga 2024”, elle a eu lieu en trois phases, du 30 septembre au 30 novembre 2024.

64e anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso : 127 agents civils comme militaires ont été distingués pour leur abnégation au travail au service de la nation, hier mercredi 11 décembre 2024 à Ouagadougou.

Présentation: Franck TAPSOBA

Journée des pasteurs de l’EPE : La générosité envers nos pasteurs

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Célébrée ce dimanche 8 décembre 2024 à l’Église Protestante Évangélique de Ouagadougou (EPEO), cette journée spéciale a été dédiée aux serviteurs et servantes de Dieu pour leur témoigner gratitude et reconnaissance pour leur sacrifice dans l’œuvre du Seigneur. Le thème de cette célébration, La libéralité, est tiré de 1 Corinthiens 9:6-14 et développé par l’orateur du jour, le Pasteur Balbonné Kassoum.
Dans son message, le pasteur Balbonné Kassoum a rappelé l’importance de prendre soin des hommes et femmes de Dieu, de les soutenir et de les encourager dans leur ministère. Il a souligné que le travail pastoral est exigeant, souvent pénible et coûteux. En s’appuyant sur la Bible, il a comparé le pasteur à un soldat et à un bâtisseur, appelant le peuple à les soutenir sur tous les plans Galates 6:6.Malheureusement, a-t-il ajouté, à cause de la méchanceté et de l’indifférence de nombreux chrétiens aujourd’hui, beaucoup de pasteurs se retrouvent démunis et parfois détournés de leur vocation initiale.

Pourquoi soutenir les pasteurs ?

Le soutien des chrétiens envers leurs pasteurs est essentiel pour plusieurs raisons : Favoriser l’édification spirituelle ,en soutenant les pasteurs, ceux-ci peuvent consacrer plus de temps à la méditation de la Parole et à l’édification du peuple Matthieu 24:44.Ensuite l’intercession constante ,les pasteurs sont à la brèche pour intercéder en faveur du peuple devant Dieu.La disponibilité totale , un pasteur soutenu financièrement peut rester dans la maison de l’Éternel sans chercher un travail séculier pour subvenir à ses besoins Néhémie 13:10-12.

De la dîme à la générosité : une évolution biblique

Dans l’Ancien Testament, les dîmes et les offrandes étaient des obligations imposées à cause de la dureté de cœur du peuple. Cependant, dans le Nouveau Testament, l’accent est mis sur la libéralité et la générosité, inspirées par l’amour et ce que Dieu met à cœur 2 Corinthiens 9. Ainsi, le pasteur a encouragé chacun à donner avec joie et amour, car Dieu bénit abondamment ceux qui donnent avec un cœur sincère. Selon les Écritures, celui qui sème peu récoltera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment 2 Corinthiens 9:6. Il a également cité Philippiens 4:10-15 pour rappeler que Dieu n’est pas ingrat : celui qui arrose sera lui-même arrosé.
Le pasteur a conclu en exhortant l’assemblée à être une source de bénédictions en contribuant chacun à sa manière pour que l’œuvre de Dieu prospère. Pour que l’équipe de Dieu gagne, nous devons tous apporter notre contribution pour obtenir de bons résultats, a-t-il affirmé.

𝐐u𝐚r𝐚n𝐭e j𝐨u𝐫s d𝐞 𝐣e𝐮̂n𝐞 𝐜l𝐨̂t𝐮r𝐞́s p𝐚r u𝐧 𝐜u𝐥t𝐞 𝐝’𝐚c𝐭i𝐨n𝐬 𝐝e g𝐫â𝐜e à l’é𝐠l𝐢s𝐞 𝐒h𝐚l𝐨m d𝐞 𝐘a𝐠m𝐚

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𝐷𝑖𝑚𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 8 𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 2024, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑆ℎ𝑎𝑙𝑜𝑚, 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑌𝑎𝑔𝑚𝑎 𝑎̀ 𝑂𝑢𝑎𝑔𝑎𝑑𝑜𝑢𝑔𝑜𝑢, 𝑎 𝑣𝑖𝑏𝑟𝑒́ 𝑎𝑢 𝑟𝑦𝑡ℎ𝑚𝑒 𝑑’𝑢𝑛 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒 𝑒𝑥𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙 𝑑’𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒. 𝐶𝑒𝑡 𝑒́𝑣𝑒́𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒́ 𝑙𝑎 𝑐𝑙𝑜̂𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑒𝑢̂𝑛𝑒, 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑎𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑎𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠.
L’orateur principal, le pasteur Jérémie KIENDREBEOGO, a exhorté les fidèles à mener une vie de reconnaissance envers le Seigneur. « 𝑵𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆𝒖𝒙 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒊 𝒊𝒈𝒏𝒐𝒓𝒆𝒏𝒕 𝒍’𝒊𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒅𝒆 𝒍’𝒂𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒈𝒓𝒂̂𝒄𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒆 𝒅𝒖 𝒄𝒉𝒓𝒆́𝒕𝒊𝒆𝒏 », a-t-il affirmé. Il a invité l’assemblée à méditer sur le passage biblique 𝐝’𝐄𝐱𝐨𝐝𝐞 𝟐𝟎:𝟐𝟒 : « 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑙 𝑒𝑛 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑢 𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑟𝑎𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑢 𝑦 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑖𝑟𝑎𝑠 𝑡𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑙𝑜𝑐𝑎𝑢𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑖𝑜𝑛… », pour illustrer l’importance de la gratitude envers Dieu.
Le pasteur KIENDREBEOGO a rappelé que, malgré les difficultés rencontrées au cours de l’année pertes, échecs ou malheurs , le chrétien a des raisons de rendre grâce. Il a souligné : « 𝑁’𝑦 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝐷𝑖𝑒𝑢, 𝑡𝑢 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑚𝑖𝑠𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑎 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒. » Cette gratitude, a-t-il ajouté, renforce la relation avec Dieu et témoigne de la fidélité divine envers son peuple.
𝐋𝐞𝐬 𝐟𝐫𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐬𝐩𝐢𝐫𝐢𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞
Au cours de son message, l’orateur a également mis l’accent sur la notion de semence spirituelle en rappelant des enseignements donnés durant les quarante jours de jeûne. Il a encouragé l’église à « semer davantage », citant : « 𝑇𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒̀𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑑’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑢𝑖 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒 𝑣𝑖𝑒. » Cette exhortation s’appuyait sur des références bibliques telles que 𝗘𝘅𝗼𝗱𝗲 𝟯𝟵:𝟭𝟵-𝟮𝟬, 𝟮 𝗖𝗼𝗿𝗶𝗻𝘁𝗵𝗶𝗲𝗻𝘀 𝟵:𝟭𝟭-𝟭𝟮 𝗲𝘁 𝗘𝗽𝗵𝗲́𝘀𝗶𝗲𝗻𝘀 𝟱:𝟰.
Le programme a été enrichi par des témoignages de reconnaissance des fidèles, partageant les interventions divines dans leurs vies. L’atmosphère de louange était à son comble lorsque l’assemblée a entonné des hymnes pour glorifier le Seigneur, avant de conclure par quatorze puissants « Alléluia » proclamés pour le succès dans la vie de l’église Shalom.
Ce culte a permis de couronner quarante jours de dévotion et d’enseignements spirituels intenses. Il a rappelé aux fidèles l’importance de l’action de grâce et de la semence comme piliers de la vie chrétienne. Le pasteur KIENDREBEOGO a appelé à redoubler d’ardeur dans ces pratiques pour une collaboration renforcée avec Dieu.

𝗘́𝗴𝗹𝗶𝘀𝗲 𝗔𝗗 𝗘𝗣𝗛𝗥𝗔𝗧𝗔 𝗱𝗲 𝗚𝗼𝗱𝗲́-𝗦𝗮𝗯𝗼𝘂 : 𝗨𝗻𝗲 𝗲𝘅𝗵𝗼𝗿𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮𝘂 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗖𝗵𝗿𝗶𝘀𝘁

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𝑮𝒐𝒅𝒆́-𝑺𝒂𝒃𝒐𝒖, 8 𝒅𝒆́𝒄𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆 2024— L’Église AD EPHRATA de Godé-Sabou, située à environ 100 km de Ouagadougou, a vibré ce dimanche au rythme d’un message profond sur l’urgence de se préparer pour le retour imminent du Seigneur Jésus-Christ. Sous la direction de Madame Rebecca SAWADOGO/NIKIEMA, l’assemblée a été invitée à une introspection spirituelle, marquée par des enseignements bibliques riches en pertinence.
𝗨𝗻 𝘁𝗵𝗲̀𝗺𝗲 𝗱’𝗮𝗹𝗲𝗿𝘁𝗲 : 𝗥𝗲𝗺𝗽𝗹𝗶𝗿 𝘀𝗮 𝗹𝗮𝗺𝗽𝗲 𝗱’𝗵𝘂𝗶𝗹𝗲
La prédication s’est articulée autour du thème : « 𝑹𝒆𝒎𝒑𝒍𝒊𝒔 𝒕𝒂 𝒍𝒂𝒎𝒑𝒆 𝒅’𝒉𝒖𝒊𝒍𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍’𝒂𝒕𝒕𝒆𝒏𝒕𝒆 𝒅𝒖 𝑺𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑱𝒆́𝒔𝒖𝒔-𝑪𝒉𝒓𝒊𝒔𝒕, 𝒄𝒂𝒓 𝒕𝒖 𝒏𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊𝒔 𝒏𝒊 𝒍𝒆 𝒋𝒐𝒖𝒓 𝒏𝒊 𝒍’𝒉𝒆𝒖𝒓𝒆 », inspiré de 𝐌𝐚𝐭𝐭𝐡𝐢𝐞𝐮 𝟐𝟓:𝟏-𝟏𝟑 𝐞𝐭 𝐆𝐞𝐧𝐞̀𝐬𝐞 𝟔:𝟓-𝟕. L’oratrice a expliqué les parallèles entre les écrits bibliques et la réalité chrétienne actuelle, soulignant que le retour de Christ exige une préparation constante et non occasionnelle.
𝐃𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐠𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐛𝐢𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐞𝐱𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐠𝐞𝐬𝐬𝐞
L’oratrice a mis en avant plusieurs figures bibliques pour inspirer les fidèles à cultiver un esprit de sagesse et de préparation :
– Marie, mère de Jésus : Choisie pour donner naissance au Sauveur en raison de sa vie de prière et de sanctification.
– Jésus-Christ : Avant de faire face à sa passion, il s’est consacré à la prière fervente, montrant l’importance de se préparer spirituellement face aux épreuves.
– Les cinq vierges sages et les récits de Noé et de Lot : Ces passages illustrent l’importance d’être prêts en tout temps, car le Royaume de Dieu n’est pas une cérémonie mondaine prévisible.
𝐔𝐧 𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞
L’oratrice a exhorté les fidèles à abandonner les comportements nuisibles à leur vie spirituelle, notamment : la haine, la jalousie, le refus de pardonner, la soif excessive de richesse ou encore les abus de pouvoir. Elle a rappelé que la mort est inévitable et que chacun devra rendre compte devant Dieu, insistant sur l’urgence de vivre dans la sanctification et la sagesse divine.
Le culte s’est terminé dans une atmosphère de recueillement intense, ponctuée par une prière fervente pour recevoir la sagesse et vivre une vie digne du Royaume de Dieu.

Journal parlé RED du mardi 10 décembre 2024

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Le sommaire du journal

Lève-toi, Eternel, avec ta force ! Nous voulons chanter, célébrer ta puissance. » tiré des psaumes 21 : 14, c’est sous ce thème que s’est tenu la 19ème édition de la Nuit de louange et d’adoration. C’était ce samedi 07 décembre 2024 au sein de l’église Montagne de l’Eternel.

Du 02 au 12 aout 2025, la ville de Ouagadougou abrite, le Séminaire International de Louange et d’Adoration SILA. Cette 12e édition connaitra la participation de plus de 16 pays. Il est organisé par les Chantres Unis du BF, en collaboration avec les Chantres Unis International. Le comité d’organisation a livré les grandes articulations de ce rendez-vous samedi dernier.

La 3ème édition du Forum national des défenseurs des droits humains s’est ouvert hier 09 décembre à Ouagadougou. Organisée par la Commission nationale des droits humains (CNDH) du Burkina Faso, il sera question pour les acteurs d’échanger autour du thème « Contribution des Défenseurs des droits humains (DDH) à la résolution de la crise sécuritaire ».

Présentation: Franck TAPSOBA

Journal parlé RED du lundi 09 décembre 2024

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C’est sous le thème : « lève-toi, Eternel, avec ta force ! Nous voulons chanter, célébrer ta puissance. » tiré du livre des psaumes 21 : 14 que s’est tenu la 19ème édition de la Nuit de louange et d’adoration. C’était ce samedi 07 décembre 2024 au sein de l’église Montagne de l’Eternel.

Le ministère de l’Action humanitaire et de la Solidarité Nandy Somé a tenu sa 2e session ordinaire du Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM). Cette session placée sur le thème « Consolidation des retours des PDI dans leurs localités d’origine : enjeux, défis et perspectives pour le MAHSN ? », a eu lieu, vendredi 6 décembre 2024, à Ouagadougou.

Présentation: Franck TAPSOBA