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dimanche, 5 mai 2024
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Oh Non ! Mes enfants ont grandi !

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Father and son reading a Bible over a black background.

Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c’est qu’il ne l’a pas connu. 1 Jean 3.1 (Version Semeur)

Quel privilège de savoir et de nous rappeler que nous sommes les enfants de Dieu ! De même que notre Papa nous chérit et prend soin de nous, nous avons été créés pour aimer et chérir ceux qui nous entourent, en particulier ceux qui nous sont confiés : nos enfants.

Avoir un enfant !

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours adoré les bébés ! Et depuis l’âge de quinze ans, je disais à ma mère que je voulais avoir un enfant. Ce n’est que des années plus tard que j’ai réalisé combien j’ai dû l’inquiéter en tenant de tels propos…

J’ai été maman à vingt-sept ans et mes trois enfants sont les plus beaux cadeaux que Dieu m’a faits.

J’ai profité d’eux autant que j’ai pu lorsqu’ils étaient petits, j’ai savouré chaque instant, émerveillée par les premiers mots, les premiers pas, les premières découvertes…

Ma fille était tellement à l’aise en langage qu’elle employait à bon escient dans nos conversations des répliques exactes de son dessin animé préféré de l’époque « La Belle et la Bête ». Elle n’avait pas trois ans !

Avec mon cadet, nous avons beaucoup dessiné. Il me demandait sans cesse de lui dessiner Simba, Muphasa ou même Scar. Patiemment, je remplissais des pages de lions et autres animaux que nous coloriions ensemble. Par la suite, il m’a demandé de lui faire les dessins en pointillés sur lesquels il repassait. Aujourd’hui, bien qu’il ne soit pas dans la branche artistique, mon fils a un très « bon coup de crayon » ! C’est tout naturellement que son petit frère l’a suivi dans cette voie et mon plus grand bonheur est de les voir attablés tous les deux, les yeux rivés sur un modèle et concentrés sur le dessin qui prend forme sur leur feuille blanche.

Lorsque mes aînés étaient petits, dès le vendredi soir, notre plus grande hâte était de nous procurer du matériel pour « fabriquer » quelque chose. Que ce soit un jeu, un objet utile ou pas, nous avions hâte de nous retrouver pour fabriquer l’« œuvre d’art ». Comme leur père était souvent en déplacement le week-end, notre rituel consistait en la création de quelque chose et en la réalisation d’une pâtisserie pour fêter le retour de papa. Et cerise sur le gâteau ! Nous dormions tous les trois dans le lit parental ! Il n’existe aucun autre endroit plus douillet que le lit de papa et maman !

Ces moments sont gravés dans ma mémoire et sont mes plus beaux souvenirs. Ils sont sûrement gravés dans leur mémoire également…

Avec du recul, maintenant que mon benjamin a douze ans, je ne regrette pas d’avoir fait du temps passé avec mes enfants, ma priorité, bien au contraire ! Enseignante de métier, c’est lorsqu’ils étaient couchés que je faisais mes préparations jusque très tard parfois, mais il était hors de question pour moi de grappiller sur mon temps avec eux.

Lorsqu’on est jeune maman, on se noie facilement dans les tâches du quotidien, on est sans cesse stressée par la montagne de choses à faire et le temps qui passe si vite !.. On aimerait avoir plus de temps pour soi, avoir plus d’aide pour s’occuper de nos enfants et on tente de faire de notre mieux, trop souvent submergée et tellement préoccupée !

Mais justement, le temps passe si vite et le temps perdu ne peut se rattraper…

Est-ce que nous profitons pleinement du temps passé avec nos enfants ou sommes-nous si concernées par leur bien-être que nous en oublions de « pauser » un instant pour juste se délecter du moment présent ?

La Bible le dit si bien « Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? » (Matthieu 6.27)

Elle dit également « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. » (Matthieu 6.33-34) Notre Dieu est un bon Père et il regarde au cœur avant tout. Alors si nous chérissons nos enfants et les éduquons de tout notre cœur selon Sa Parole et Ses préceptes, Il rachètera le temps. Nous pouvons nous appuyer avec assurance sur Lui et nous confier en Lui en ce qui concerne nos enfants (et tous les autres domaines de notre vie d’ailleurs…).

Dieu est souverain et désire le meilleur pour chacun de Ses enfants.

Le droit au bonheur ?

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J’ai le droit d’être heureux(se). La seule chose que mon coeur désire est d’être heureux(se) !” Voilà ce que l’on entend de plus en plus autour de nous dans le monde chrétien. Le bonheur est devenu un but en soi… la marche chrétienne finit par ressembler à une course effrénée pour trouver et vivre enfin ce bonheur auquel “On a bien droit, quand même !

On voit donc de plus en plus de divorces parce que : “On n’arrivait pas à être heureux.”
Les familles se séparent parce que “On sera plus heureux comme ça !
Quelle tristesse… plus on court après le bonheur, plus il semble nous échapper !

Évidemment, courir après le bonheur pour trouver le bonheur revient à marcher sur la tête ! Le diable nous aurait-il tout simplement piégés, encore une fois, avec une chose que Dieu veut pour nous comme étant le résultat de notre marche avec Lui : le bonheur, en nous faisant croire que c’était notre but : être heureux avant tout ?

Eleanor Roosevelt a dit que “le bonheur n’est pas un but en soi mais tout simplement un dérivé”.

Nous confier en l’Éternel, marcher selon Ses voies, être au coeur de Son plan, quel qu’il soit, devrait être notre objectif dans la vie. Si nous courrons les yeux fixés vers ce but, alors, nous serons heureux !

Mais ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent leur envol comme les aigles ; Ils courent, et ne se lassent point, Ils marchent, et ne se fatiguent point.” (Esaïe 40.31)

Le roi Salomon est un très bon exemple d’une course effrénée vers le bonheur sans pour autant le trouver.

“J’ai dit en mon coeur : Allons ! Je t’éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur… Je résolus en mon coeur de livrer ma chair au vin… Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés ; je n’ai refusé à mon coeur aucune joie ; car mon coeur prenait plaisir à tout mon travail, et c’est la part qui m’en est revenue.
Puis, j’ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j’avais prise à les exécuter ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n’y a aucun avantage à tirer de ce qu’on fait sous le soleil.”
Ecclésiaste 2.1-11

Salomon avait tout ce que nous pouvons désirer quand nous soupirons après le bonheur… et pourtant, il le dit lui-même, tout ceci n’est que vanité !

Charles Spurgeon nous donne le secret : “Le bonheur est d’être heureux et satisfait avec ce que l’on a ET aussi avec ce que l’on n’a pas.”

Il vaut mieux apprécier les choses que nous avons, plutôt que de passer son temps à désirer celles que nous n’avons pas.

“Ce n’est pas en vue de mes besoins que je dis cela, car j’ai appris à être content de l’état où je me trouve.” (Philippiens 4.11)

En fait, ce qui nous procure le vrai bonheur ne se trouve pas dans l’autosatisfaction, mais dans notre fidélité à poursuivre le but de notre vie, celui pour lequel nous avons été créés.

Notre vie sur la terre n’est qu’un passage pendant lequel nous choisissons notre destination.

Si on croit que ce monde a été conçu pour notre bonheur, on le trouvera alors intolérable. Mais si on le considère comme un lieu d’entraînement et de correction, ce n’est pas si mal…” (CS Lewis : God in the Dock)

“Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux !
Heureux les affligés, car ils seront consolés !
Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre !
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés !
Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde !
Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu !
Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu !
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux !
Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi.”
Matthieu 5.3-11

Le bonheur n’est donc pas le but mais la conséquence de nos choix de rester au creux des bras de Dieu ! Je le crois, et je l’expérimente : Dieu veut que nous soyons heureux et Il nous a laissé des promesses pour cela :

“Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s’alarme point.” (Jean 14.27)

Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais prenez courage, j’ai vaincu le monde.” (Jean 16.33)

Et si notre chemin sur cette terre est parsemé de larmes et de douleur, souvenons-nous que :

Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.” (Apocalypse 21.4)

Répondez avec grâce

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Croissez dans la grâce
2 Pierre 3.18.

Comment surmonter les blessures du passé dans les relations ? Comment deux personnes aux idées opposées peuvent-elles bien s’entendre et s’apprécier ? Il faut mettre dans l’équation un ingrédient très spécial appelé “grâce”, et donc étendre à l’autre personne la même grâce que Dieu nous accorde. 

Elle panse les personnes brisées et permet aux victimes de trouver le moyen d’échapper à leur passé. Elle donne de la force à ceux qui peinent à réussir dans des domaines où ils ont toujours échoué. La grâce restaure le cœur et résout les troubles d’un esprit tourmenté. Elle représente la bonté de cœur et le pardon, ainsi que la faveur de Dieu et, comme il nous la donne, on doit l’étendre à ceux qui ont besoin de notre compassion et de notre amour.

Tout le monde a des failles. Il faut apprendre à l’accepter et aider à réparer les fêlures d’autrui. Pierre ne croyait pas être capable de renier son Seigneur. Il a juré qu’il ne le ferait jamais, mais Jésus ne s’est pas contenté de le prédire ; il a promis de prier pour lui jusqu’à ce qu’il soit complètement rétabli (voir Luc 22.32). À nous de faire pareil : d’étendre aux autres gens imparfaits la même grâce que Dieu nous a accordée.

Paul a écrit dans 2 Thessaloniciens 1.3 : “Nous devons, frères, rendre continuellement grâces à Dieu à votre sujet, et ce n’est que juste, puisque votre foi augmente et que l’amour que vous avez tous, les uns pour les autres, abonde de plus en plus“. Et Pierre ajoute : “Croissez dans la grâce“. C’est un vrai travail qu’il vous faut accomplir !

Ecouter la voix de Dieu

Y a-t-il une personne dans votre entourage envers laquelle vous devez faire preuve de grâce ? Prenez le temps d’écouter ce que Dieu veut vous dire à ce sujet.

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme vous le feriez avec votre ami le plus proche. Voici un exemple de prière : “Seigneur, je ne vaux pas mieux que les autres. Aide-moi à ne pas avoir une trop haute opinion de moi et à croître dans la grâce envers mon prochain. Amen.”

Louer Dieu

Prenez un temps pour remercier le Seigneur et vous remémorer ce qu’il a fait pour vous à la croix. “Merci Seigneur d’avoir donné ta vie pour que je sois libre de crier : Abba ! Père ! Merci pour ta grâce incroyable ! Je l’accepte aujourd’hui.”

Agir aujourd’hui

Que pouvez-vous mettre en place aujourd’hui afin d’appliquer ce que Dieu vous a mis à cœur ? Une personne pour laquelle vous auriez pu avoir plus de grâce vous vient à l’esprit ? Faîtes un geste d’amour envers elle : sms, coup de fil…

Honorer le Seigneur

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

Seigneur, merci pour ta grâce qui m’a sauvé et redonné la vie. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !”

Tout ce qui compte, c’est de vivre pour Dieu

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Car nous n’avons pas l’audace de nous égaler ou de nous comparer à certaines gens qui se recommandent eux-mêmes ; 
en se prenant eux-mêmes comme unité de mesure et de comparaison, ils perdent la tête !
2 Corinthiens 10.12

Suivre Dieu plutôt que la foule demande du courage. Être excessivement concerné par ce que les autres pensent de nous ne conduit qu’au tourment. Même si nous apprécions tous que les gens aient une bonne opinion de nous-mêmes, il est impossible d’être constamment aimé par tout le monde.

Dans l’économie de Dieu, nous devons en général être prêts à abandonner certaines choses afin d’obtenir ce que nous désirons réellement dans la vie. Cela signifie que nous devons arrêter de nous comparer aux standards des autres et commencer à vivre pour Dieu. Vos vrais amis vous aideront à devenir tout ce que Dieu veut que vous soyez. Ils ne vous jugeront pas lorsque vous suivrez le plan de Dieu et ils vous encourageront à faire de lui votre priorité.

Même si tout le monde prenait ses distances, Dieu, Lui, vous promet de ne jamais vous abandonner. Il ne vous délaissera jamais. La vie devient trop compliquée, confuse et frustrante lorsque nous essayons de plaire à la fois à Dieu et aux hommes.

Vous n’avez pas à vous comparer à qui que ce soit ni à vous inquiéter de ce que les gens pensent de vous. Vivez votre vie pour Dieu et soyez libre d’être celui ou celle qu’Il a fait de vous.

Ecouter la voix de Dieu

Prenons le temps d’écouter ce que Dieu veut dire. Y a-t-il quelque chose qui vous empêche de vivre pleinement pour Dieu ? Laissez le Saint-Esprit vous éclairer à ce sujet maintenant.

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme vous le feriez avec votre ami le plus proche. Dieu vous aime et il peut tout entendre. Voici un exemple de prière : “Seigneur, je prends la décision de vivre pour toi seul. Tu es le seul qui compte à mes yeux, et je veux être la personne que tu as créée et appelée à être.”

Louer Dieu

Louer Dieu, c’est lui manifester notre gratitude. Remercions-le pour sa fidélité, même quand nous sommes infidèles. “Merci Seigneur d’être ce rocher inébranlable auquel je peux m’accrocher contre n’importe quel courant ou torrent !”

Agir aujourd’hui

À présent, approfondissez ce que vous avez reçu. Avez-vous de vrais amis dans votre entourage ? Des personnes qui vous poussent vers Dieu ? Conservez précieusement la relation avec ces personnes et investissez en elles.

Honorer le Seigneur

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

Merci Seigneur, car tu promets de ne jamais m’abandonner. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !”

Les habitudes qui transformeront votre vie

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Nous tous qui, sans voile sur le visage, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés à son image, de gloire en gloire, par l’Esprit du Seigneur.
2 Corinthiens 3.18

Nous sommes tous des créatures d’habitude. Que sont exactement les habitudes ? Comment se forment-elles ? Quel impact ont-elles sur notre vie ? Comment peut-on les changer ? Ces sujets ont récemment été étudiés par une grande université.

  • L’étude a confirmé que les habitudes sont des modèles qui se forment lorsque les gens se comportent de manière spécifique. À force de répétition, elles deviennent des routines verrouillées dans le cerveau. Lorsque nous sommes confrontés à des situations similaires, les mêmes réactions se déclenchent automatiquement.

Nous oublions que nous avons le choix et que nos habitudes peuvent être modifiées. Le changement peut cependant être ardu. Il est tout aussi difficile de prendre une bonne habitude que de se défaire d’une mauvaise.

Si ce combat est le nôtre, nous devons nous rappeler que Dieu peut changer même les habitudes les plus ancrées. Nous pouvons commencer à opérer des changements en examinant ce qui pénètre dans notre esprit ; ce à quoi nous pensons ; les personnes que nous imitons.

Paul a écrit : “Ne vous conformez pas au monde actuel, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence” (Romains 12.2). Il a aussi dit aux Corinthiens : lorsque nous permettons à l’Esprit de Dieu d’agir en nous, nous lui ressemblons de plus en plus et reflétons davantage sa gloire (2 Corinthiens 3.18).

Aujourd’hui, croyez que Dieu peut transformer votre vie et vous aider à rompre avec vos vieilles habitudes.

Confiez-lui votre vie. Passez du temps à lire sa Parole, à prier et à l’adorer. Demandez-lui de vous aider à prendre des habitudes qui transformeront votre vie et vous rendront plus semblable à Jésus.

Ecouter la voix de Dieu

Prenez le temps d’écouter ce que Dieu veut dire. Laissez l’Esprit de Dieu agir en vous. Demandez-lui de vous éclairer sur les vieilles habitudes que vous avez laissées s’installer en vous.

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme vous le feriez avec votre ami le plus proche. Dieu vous aime et il peut tout entendre. Voici un exemple de prière : “Père, je te dédie ma vie. Je te remets mon emploi du temps, mon style de vie et mes ressources. Aide-moi à ressembler davantage à Jésus. En son nom. Amen.”

Louer Dieu

Dieu vous aime tel que vous êtes, mais il vous donne la possibilité, par sa grâce qui agit en vous, de changer de comportement et de mettre en place de nouvelles habitudes qui vont l’honorer. Louez-le pour son action paternelle dans votre vie.

Agir aujourd’hui

À présent, approfondissez ce que vous avez reçu au travers de ce message. Que pouvez-vous mettre en œuvre dès aujourd’hui ? Soyez précis.

Honorer le Seigneur

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

Merci, mon Dieu, car tu fais toutes choses nouvelles dans ma vie. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !”

Pouvoir judiciaire : le Chef de l’Etat échange avec le Conseil supérieur de la Magistrature

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Le Président du Faso, le Lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo DAMIBA, a reçu en audience, ce mardi en fin de matinée, une délégation du Conseil supérieur de la Magistrature (CSM).
Selon le chef de la délégation, Mazobé Jean KONDÉ, président du Conseil supérieur de la Magistrature, il s’agit d’une rencontre de prise de contact.
« C’est une audience qui est la toute première, le tout premier contact formel entre le Conseil supérieur de la Magistrature et le Président du Faso qui, selon la Constitution, est le garant de l’indépendance du pouvoir judiciaire », a indiqué le Président du CSM.
Cette rencontre s’inscrit dans l’ordre normal du fonctionnement des institutions, « étant entendu que la loi fondamentale de notre pays prévoit même des rencontres périodiques avec le Président du Faso en sa qualité de garant et le Conseil supérieur de la Magistrature », a souligné Mazobé Jean KONDÉ.
Il a également expliqué que le Président du Faso et le Conseil supérieur de la Magistrature sont appelés à coopérer sur un certain nombre de thématiques.
Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Régulation des médias au Burkina Faso : Le Premier ministre attentif aux préoccupations du CSC

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Le Premier ministre Albert Ouédraogo, s’est entretenu ce mardi 26 avril 2022, avec une délégation du Conseil supérieur de la Communication (CSC), conduite par son vice-président, Abdoul Aziz Bamogo. Les échanges entre les deux parties ont porté sur la situation de l’institution, mais également sur deux autres questions, liées notamment à la situation de la Société burkinabè de télédiffusion (SBT) et à l’activité des médias, en lien avec la crise sécuritaire.

« Nous sommes sortis satisfaits de ces échanges, parce que nous avons reçu une oreille attentive de Son Excellence Monsieur le Premier ministre. On s’est rendu compte qu’il est bien informé et qu’il suit l’actualité de notre institution. Sur les questions qui nous préoccupent, il a dit sa volonté de mettre en œuvre ce qui est possible, pour nous permettre de pouvoir résoudre les problèmes que nous avons posés ». Ces propos sont du vice-président du CSC, Abdoul Aziz Bamogo. Entouré d’autres membres du collège des conseillers, il a été reçu ce 26 avril 2022 par le chef du Gouvernement, Albert Ouédraogo.

Sur la situation qui prévaut au CSC, le vice-président a déclaré que son institution n’est pas en nombre complet au niveau du collège. « Avec le Premier ministre, nous avons échangé sur la nécessité de pouvoir travailler à ce que le collège soit en nombre complet, pour pouvoir mieux assurer sa mission », a-t-il expliqué.

Concernant la SBT, la délégation du CSC a dit avoir présenté au chef du Gouvernement, la situation assez difficile dans laquelle se trouve cette société d’Etat. En effet, de l’avis de Abdoul Aziz Bamogo,  la SBT manque de moyens réels, ce qui ne lui permet pas de fonctionner normalement. A ce niveau, a-t-il révélé, un certain nombre d’orientations ont été données par son Excellence Monsieur le Premier ministre, pour que les discussions et les échanges se poursuivent, en vue de trouver avec les différents acteurs, des solutions qui garantissent un fonctionnement régulier de la SBT.

Sur la question de l’activité des médias, en lien avec la crise sécuritaire, les membres du CSC ont exposé au Premier ministre, un certain nombre de préoccupations soumis à l’instance de régulation par les acteurs des médias, dans le but de pouvoir mieux jouer leur rôle dans ce contexte d’insécurité. A ce titre, le vice-président, Abdoul Aziz Bamogo, a souligné qu’ils ont présenté à Albert Ouédraogo, des actions que le CSC compte organiser, dans le sens de renforcer les capacités des médias, de fluidifier les rapports entre les médias et les forces de défense et de sécurité, mais aussi d’assurer une meilleure éducation aux médias de nos populations.

Lutte contre le terrorisme : le président Damiba envoie une mission chez son frère Assimi Goïta

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A l’initiative du Président du Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, une délégation d’officiers burkinabè s’est rendue le vendredi 22 avril 2022 à Bamako dans la capitale malienne.

Le renforcement de la coopération opérationnelle entre les deux pays a été au centre des échanges.

Une délégation d’officiers burkinabè a séjourné, dans la capitale malienne, le vendredi 22 avril 2022. Conduite par le Commandant des opérations du théâtre national, le Lieutenant-colonel Yves-Didier Bamouni, la délégation était porteuse d’un message du Chef de l’Etat à son homologue et frère, le Président de la Transition du Mali, le Colonel Assimi Goïta. Le Mali et le Burkina Faso ont en partage plus de 1200 km de frontière et sont engagés dans la lutte contre des groupes armés terroristes. Le renforcement de la coopération opérationnelle entre les deux pays a été au centre des échanges entre le Chef de l’Etat malien et la délégation burkinabè qui comptait dans ses rangs, le Lieutenant-colonel Daba Naon, Commandant de la Brigade nationale de Sapeurs-Pompiers et le Chef d’escadron, Serge Thierry Kiendrebeogo, Directeur de cabinet du Président du Faso. Du côté malien, le Président du Conseil national de la Transition, le Colonel Malick Diaw, le Ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, le Colonel Sadio Camara, le Directeur général de l’Agence de renseignement et de la sécurité de l’Etat ainsi que le Directeur de cabinet du Président ont pris part à la rencontre. L’objectif de la mission, a expliqué le Chef d’escadron Kiendrebeogo, était d’abord de rappeler au voisin et partenaire malien que « nous avons les mêmes problèmes de sécurité et le même ennemi », et qu’à ce titre, « nous devons donc rester solidaires pour relever les défis qui se posent à nos deux pays ». Il s’est ensuite agi pour les autorités burkinabè de réaffirmer leur volonté de continuer la coopération militaire et sécuritaire avec le Mali et de la renforcer notamment par l’intensification des opérations sur le terrain.

Le schéma de la transition

L’ambition est d’anticiper les problèmes sécuritaires que pourrait engendrer un repli des groupes armés terroristes sur le territoire burkinabè, en raison de la montée en puissance des Forces de défense et de sécurité maliennes dans la lutte contre le terrorisme, d’où l’intérêt de développer des synergies pour contrer ces forces du mal, estime la partie burkinabè. Les émissaires du Président du Faso ont remercié le Président Assimi Goïta et le gouvernement malien pour leur appui aux opérations de sécurisation au Burkina. Le Chef de l’Etat malien leur a prodigué des conseils pour une meilleure opérationnalisation de la lutte anti-terroriste.

Le Chef de l’Etat malien a prodigué à ses hôtes des conseils pour une meilleure opérationnalisation de la lutte anti-terroriste.

Arrivés à Bamako, vendredi dernier, la délégation burkinabè a d’abord eu une séance de travail avec le Chef d’Etat-major général des armées maliennes, le Général de division Oumar Diarra autour des perspectives pour le renforcement de la coopération opérationnelle malo-burkinabè dans la lutte contre les groupes armés terroristes. A la Direction de la sécurité militaire, les échanges avec le Directeur, le Général de brigade Moussa Toumani Koné, ont porté sur l’environnement sécuritaire dans la zone du Sahel et en particulier sur la frontière commune. Plus tard dans la soirée, les émissaires du Président du Faso, le Lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo DAMIBA, ont eu des échanges avec des personnels burkinabè exerçant au sein de différentes missions de paix et de sécurisation au Mali. « C’était une séance d’information entre frères d’armes sur la situation nationale », a expliqué le lieutenant-colonel Yves-Didier BAMOUNI, chef de la délégation burkinabè.

« Le Burkina Faso compte sur chacun de vous. De par votre positionnement, vous devez vous considérer comme des combattants dans notre lutte contre le terrorisme », a ajouté le Chef d’escadron Serge Thierry KIENDREBEOGO, Directeur de Cabinet du Président du Faso. Il a en outre relevé que la Transition politique au Burkina se fera selon le schéma Sécurité – Retour des déplacés – Elections, et que ce processus ne saurait se faire dans un autre ordre. « Notre objectif global c’est la paix et la sécurité en s’appuyant sur deux piliers majeurs : le combat contre les groupes radicaux et le dialogue avec ceux qui veulent revenir au sein de la République », a déclaré le Commandant des opérations du théâtre national.

Sur les enjeux du renforcement de la coopération opérationnelle avec le Mali, objet de leur mission, le Lieutenant-colonel Daba NAON, Commandant la Brigade nationale des Sapeurs-Pompiers burkinabè a souligné à leurs frères d’armes, que « le message que le Président du Faso nous a donné à transmettre est celui de la fraternité avec le peuple malien ».

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Envoie-moi !

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J’entendis la voix du Seigneur, disant : Qui enverrai-je et qui marchera pour nous ? Je répondis : Me voici, envoie-moi.
Ésaïe 6.8 

Lors des formations que j’organise pour l’évangélisation, il m’arrive régulièrement de dire aux participants que l’église n’est pas un “jacuzzi spirituel”, où l’on vient dans le simple but de passer du bon temps avec la communauté. Elle est plutôt un camp d’entraînement, où les soldats de Dieu renouvellent leurs forces pour aller annoncer l’Évangile au sein de ce monde en perdition.

Le prophète Ésaïe répondit présent à l’appel de Dieu qui le chargeait d’une mission : annoncer la parole du Seigneur au peuple d’Israël qui avait le cœur endurci. Aujourd’hui encore, Dieu vous appelle à le faire connaître à ceux qui se meurent. Il cherche parmi son peuple une personne disposée à se mettre à part pour son œuvre. Êtes-vous disposé à répondre à sa demande ?

Êtes-vous prêt à quitter votre zone de confort pour vous mettre à son service ? Il est certain qu’accepter cette invitation impliquera des changements considérables dans votre vie. Cependant, rien n’est plus beau que de vivre pour Dieu et d’être un instrument qu’il utilise à son gré pour toucher et changer des vies !

Ecouter la voix de Dieu

Prenons le temps d’écouter ce que Dieu veut dire. Êtes-vous prêt à répondre “oui” à l’appel de Dieu pour le servir ?

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme vous le feriez avec votre ami le plus proche. Dieu vous aime et il peut tout entendre. Voici un exemple de prière : “Seigneur, je choisis de ne plus perdre de temps, car les temps sont courts et tu reviens bientôt. Envoie-moi dans ta moisson. Me voici !”

Louer Dieu

Même si vous vous sentez incapable ou indigne, Dieu désire “travailler” avec vous. Vous pouvez lui manifester votre reconnaissance car il croit en vous bien plus que vous même !

Agir aujourd’hui

Dieu veut vous envoyer : c’est merveilleux, n’est-ce pas ! Alors arrêtez de dire que vous êtes inutile dans le Royaume de Dieu et osez dès maintenant faire le premier pas dans votre appel. Ce sera peut-être un tout petit service, mais n’oubliez pas : rien n’est petit quand nous servons le Seigneur.

Honorer le Seigneur

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

Merci pour ta confiance, Seigneur. Tu investis en moi pour que je puisse, par ma vie, toucher d’autres vies. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !”

Recevez le don de la grâce de Dieu

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Car c’est par la grâce de Dieu que vous avez été sauvés, au moyen de la foi. Ce salut ne vient pas de vous, il est un don de Dieu ; il n’est pas le résultat de vos efforts, et ainsi personne ne peut se vanter.
Éphésiens 2.8-9

Nous avançons dans les plans de Dieu pour notre vie de la même façon que nous recevons le salut. Nous sommes sauvés, non pas à cause de ce que nous avons fait, mais par grâce. C’est un don. Un don ne se gagne pas ! Vous le recevez tout simplement.

Avez-vous déjà vu quelqu’un refuser un don parce qu’il pensait que c’était trop ? “Oh non, je ne peux pas l’accepter ! C’est trop ! Non…” Ceux qui luttent avec le fait de recevoir gracieusement un cadeau approprié doivent certainement se battre avec des pensées d’orgueil et de condamnation. Parfois, ils vont même jusqu’à penser qu’ils sont beaucoup mieux que la personne qui leur offre le cadeau, ou alors qu’ils ne méritent pas quelque chose d’aussi élégant.

Le verset du jour nous révèle que Dieu désire que nous acceptions simplement le don du salut qu’il nous a accordé gratuitement.

La mort de Jésus à la croix est le sacrifice parfait par lequel nous pouvons avoir accès à une vie libre de toute culpabilité et de toute condamnation. Notre nouvelle vie en Christ nous donne l’accès à une grâce abondante qui nous rend capable et nous confère une onction divine.

Lorsque vous êtes inquiet, frustré ou en colère, arrêtez-vous un moment afin de vous rendre compte que votre vie est celle de la grâce abondante de Dieu. C’est un don de Dieu lui-même, et personne ne peut vous l’enlever.