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mardi, 8 juillet 2025
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Tu ne mourras pas

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Je ne mourrai pas, je vivrai, et je raconterai les œuvres de l’Éternel.
Psaume 118.17

Il y a des jours que nous ne pourrons jamais oublier, parce qu’ils ont marqué notre vie et demeurent profondément gravés dans notre mémoire. Pour Élodie, ce fut le 3 mai 2006.

Il faut dire que c’était une journée particulière pour elle ; en effet, c’était son anniversaire. Alors qu’elle se réjouissait avec quelques amis sur sa terrasse, tout a basculé. Un homme surgi de nulle part a jeté sur elle un cocktail molotov, sans raison apparente. En quelques secondes, son corps s’est embrasé et elle s’est transformée en torche vivante.

Après des semaines de coma et de souffrances, elle s’est enfin réveillée, mais elle devait rester sous assistance respiratoire, car ses organes internes avaient été touchés. Les médecins, perplexes quant à son espérance de vie, diront à son sujet que chaque respiration était une victoire en elle-même ! Et puis, le miracle s’est produit !

En écoutant un CD, son cœur va littéralement être bouleversé par les paroles qui disaient : “Découragée, tu crois que Dieu t’a peut-être oubliée. Des circonstances malheureuses t’ont déroutée, tu ne sais plus vers qui te tourner. Je viens te dire qu’il y a quelqu’un qui t’aime… Tu sais, Dieu te connaît, il voit tes peines, il comprend bien ta douleur.”

Quelque temps plus tard, Élodie confie sa vie à Dieu qui la relève totalement. À présent, elle enflamme les cœurs par son témoignage. Quels que soient vos combats, Dieu vous gardera en vie afin que vous soyez un témoin vivant de sa gloire !

Dédougou : Une association pour la tolérance religieuse installe sa cellule

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Dans le cadre de ses activités de sensibilisation, l’Association pour la Tolérance Religieuse et le Dialogue Interreligieux (ATR/DI) a organisé le samedi 28 janvier 2022 à Dédougou, une journée de sensibilisation des leaders religieux et d’associations de Dédougou sur la tolérance et le dialogue interreligieux. A l’issue de cette activité de sensibilisation, la cellule régionale de l’ATR/DI de la Boucle du Mouhoun a été installée et présidée par Mme Awa Ki-Zerbo /Nabé.

Cette activité de sensibilisation avait pour objectif de présenter l’association, faire comprendre les concepts de liberté et de tolérance religieuse et le dialogue interreligieux afin de permettre aux leaders religieux et les responsables d’association de femmes et de jeunes de s’impliquer efficacement à leur promotion dans la quête de la cohésion sociale.

Plus spécifiquement, il s’agissait de renforcer les compétences des participants sur l’usage adéquats des concepts de liberté et de tolérance religieuses, faire connaître les fondements religieux de la liberté et la tolérance religieuses, susciter l’implication efficace des populations dans la promotion de la liberté et la tolérance religieuses et le dialogue interreligieux, gages d’une cohésion sociale durable.

En effet, le Burkina Faso, est confronté, depuis 2015, à des attaques de groupes armés radicaux contre les symboles de l’Etat, les forces armées et de sécurité intérieure et les populations civiles avec son corollaire de déplacés internes.

Parmi les populations civiles victimes, on compte des leaders traditionnels et des responsables religieux. Ces attaques ont ainsi mis à rude épreuve la liberté de croyance, la tolérance religieuse et les relations intercommunautaires, jadis pacifiques et conviviales, qui sont des valeurs sociétales du peuple burkinabè.

Consciente de la situation, l’Association pour la Tolérance Religieuse et le Dialogue Interreligieux, a vu le jour et se fixe pour objectif cardinal la promotion de la tolérance religieuse et le dialogue interreligieux, ingrédients nécessaires à la concorde et à la paix au sein des nations et entre les Etats.

Cette vision de l’ATR/DI s’inscrit en droite ligne dans les préoccupations de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) et répond également aux nécessités de notre monde qui n’a de cesse de sombrer dans la cruauté.

De l’avis de Mme Fatou Somé /Sow, Vice-présidente de l’ATR/DI, la liberté religieuse promeut la stabilité dans une société pluraliste, mais quand elle est limitée, il y a plus de violence et de conflit. « Quand la liberté religieuse est élevée, il y a plus de prospérité économique, une meilleure santé, une moins grande disparité des revenus et une démocratie plus forte » a-t-elle dit.

De même, la communication faite par Sylvie Sanou, responsable du suivi-évaluation de l’ATR/DI, elle a donné quelques aspects pratiques de la tolérance religieuse. Il s’agit entre autres d’accepter fêter avec des voisins ayant une religion différente : catholique-protestant-musulman, de supporter les perturbations sonores des cultes des autres religions : catholique-protestant-musulman-foi traditionnelle, accepter les mariages mixtes, supporter que son enfant pratique une religion autre que la sienne, comprendre et accepter les manifestations de la religion de l’autre : port de croix, port du voile, évangélisation aux carrefours, la prière de vendredi au service.

Ces différents aspects de la tolérance religieuse entrent en droite ligne du crédo de l’ATR/DI qui est :« Tolérants à l’image du Créateur qui a permis de l’existence de plusieurs religions et de non-croyants ! »

A l’issue des échanges, la cellule régionale de la Boucle du Mouhoun a été installée par la vice-présidente de l’ATR/DI. Cette cellule aura la mission de poursuivre les actions de l’association tout en prônant sa vision et ses objectifs auprès des différentes communautés de la région. Elle est composée de cinq membres et présidée par Awa Ki-ZerbO/Nabé.

Burkina/Hôpital Bogodogo : Une campagne de chirurgie maxillo-faciale lancée au profit de 73 patients

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Le Centre hospitalier universitaire de Bogodogo a lancé lundi, la troisième édition de la campagne de chirurgie maxillo-faciale qui s’étend du 30 janvier au 9 février 2023 dans ses locaux, au profit de 73 patients souffrant des séquelles du noma et autres.

« Cette campagne de chirurgie qui va se dérouler du 30 janvier au 9 février 2023 donnera une chance à des patients qui souffrent des séquelles du noma, des fentes faciales, des pathologies de la bouche et de la face d’être pris en charge gratuitement grâce à la collaboration entre l’ONG la chaine de l’espoir et le CHU de Bogodogo », a déclaré Seydou Nombré.

Pour le directeur général (DG) du Centre hospitalier universitaire de Bogodogo (CHU-B),  73 enfants opérés  sont attendus, à la fin de cette campagne de chirurgie maxillo-faciale.

Le premier responsable du CHU-B a traduit sa satisfaction avec le lancement de la troisième édition de la campagne, à l’endroit des malades, malgré le calendrier chargé de ses collaborateurs.

Seydou Nombré a précisé que ladite campagne s’inscrit dans le cadre d’une convention signée entre sa structure et  l’Organisation non gouvernementale (ON) la chaine de l’espoir.

«Je voudrais remercier et féliciter l’ONG la chaine de l’espoir qui intervient au Burkina Faso depuis, à tr     avers de projets médicaux notamment le projet de prévention et prise en charge intégrée du noma et des pathologies maxillo-faciales à travers l’organisation des missions chirurgicales », a-t-il dit.

Le DG du CHU-B a expliqué qu’au cours de la présente activité, des sessions d’enseignement post universitaires en chirurgie réparatrice et maxillo-faciale seront organisées, au profit des étudiants et des médecins en spécialisation.

Selon la cheffe de mission de l’ONG, la chaine de l’espoir, Anne Catherine Dupré, sa structure développe des projets depuis 2018 au  Burkina Faso.

D’après Mme Dupré, deux projets sont mis en œuvre, en partenariat avec le ministère de la Santé.

Il s’agit du projet du développement de la chirurgie cardiaque avec le CHU de Tengandogo et celui intitulé « Prévention et prise en intégrée des enfants souffrant du noma et de pathologies maxillo-faciales ».

Ce projet a été conçu sur l’initiative du chirurgien burkinabè, Pr Zwetyenga, exerçant au CHR de Djon en France.

Elle a précisé  que le Burkina fait partie des pays les plus touchés par ces pathologies dont le noma avec 140 mille victimes par an, selon l’Organisation mondiale de santé (OMS), qui l’a désigné comme  le 4e  fléau mondial.

«Je tenais à remercier tous les médecins et leur CHU de contribuer ainsi à la prise en charge des enfants dont les familles n’ont pas les ressources nécessaires pour accéder aux soins adéquats », a ajouté Mme Dupré.

Pour la cheffe de service de stomatologie et chirurgie maxillo-faciale du CHUB, Dr Leticia Tiendrébéogo née Ouédraogo, une centaine de malades avait été répertoriée dans les campagnes précédentes dont certains injoignables.

Dr Tiendrébéogo a rassuré qu’ils ont été pris en compte par sa structure et que celle-ci dispose d’une base de données pour les joindre au moment opportun.

« Je les invite à garder le contact en cas de besoin », a-t-elle dit à l’intention des patients.

Burkina : un colloque Medias, Culture, Tourisme et Résilience se tient les 20 et 21 janvier 2023 à Ouagadougou

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Dans la lutte contre le terrorisme au Burkina Faso, les journalistes, les acteurs des secteurs de la culture et du tourisme peuvent jouer un grand rôle de prévention et de sensibilisation. Conscient de cela, le ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme (MCCAT) organise, les 20 et 21 janvier 2023 à Ouagadougou (salle de la mairie centrale), un colloque Medias, Culture, Tourisme et Résilience sur le thème « L’engagement des acteurs culturels et des médias pour la prévention de la stigmatisation et la radicalisation en vue de la lutte contre l’extrémisme violent ». Plusieurs associations de journalistes ont été invitées pour enrichir les débats et faire des propositions.

JP DU MERCREDI 18 JANVIER 2023

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Les titres du journal

-Les organisateurs du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) ont dévoilé officiellement ce vendredi 13 janvier 2023 à Ouagadougou, les films sélectionnés pour la 28e édition de la biennale du cinéma africain. Cette édition du FESPACO va se dérouler du 25 février au 4 mars 2023.

-Le Premier ministre, Me Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambèla, s’est entretenu ce 16 janvier 2023 dans l’après-midi, avec une délégation de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso (CCI-BF), conduite par son président, Mahamadi Savadogo.

-C’est un entretien sans langue de bois entre le président de la transition Ibrahim Traoré et les étudiants burkinabè, qui a eu lieu dans l’après-midi du mardi 17 janvier 2023 à l’université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou. Sécurité et vie des étudiants étaient au coeur des échanges

Présentation: Franck TAPSOBA

Santé au Burkina : Les CHU Yalgado Ouédraogo, Bogodogo et Souro Sanou en cours de dotation de machines en IRM de dernière génération

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Dans le cadre de l’amélioration de la prise en charge des malades, l’Etat burkinabè a acquis trois machines en imagerie par résonance magnétique (IRM) de dernière génération au profit de trois centres hospitaliers universitaires (CHU). Il s’agit des CHU Yalgado Ouédraogo, Bogodogo et Souro Sanou de Bobo-Dioulasso. La présentation de ces machines d’IRM a été faite aux futurs utilisateurs, dans la soirée du mardi 17 janvier 2023 à Ouagadougou, afin qu’ils fassent une meilleure connaissance avant leur installation sur les sites. Cette cérémonie de présentation a été présidée par Joseph Sidibé, le directeur général de TM diffusion, entreprise en charge de l’exécution de ce projet.

C’est donc à bâtons rompus que les différents acteurs (fournisseurs, maîtrise d’ouvrage et futurs utilisateurs) de la chaîne ont échangé sur cette acquisition de machines d’imagerie par résonance magnétique (IRM) de dernière génération. Acquises, par l’Etat, ces machines d’IRM de dernière génération serviront à doter ces trois CHU, notamment Yalgado Ouédraogo et Bogodogo à Ouagadougou et Souro Sanou de Bobo-Dioulasso. Leur présentation a été faite aux futurs utilisateurs afin qu’ils se familiarisent en vue d’une meilleure connaissance et utilisation.

Le manager de l’entreprise « Siemens Healtiness », Vincent Coulis, qui s’est prêté à l’exercice, a fait savoir qu’ils ont eu la chance d’avoir ce marché et de collaborer avec le ministère de la Santé pour l’achat de ces trois IRM qui viennent en complément des trois IRM déjà présentes au Burkina. Ce, dans le but de compléter le parc IRM avec des machines de dernière génération, informe-t-il. Il souligne que ces machines sont plus confortables pour le patient, plus silencieuses et offrent la possibilité d’avoir un meilleur diagnostic à la fois pour les mères et les enfants, et également tout type de patient en neurologie, cancérologie, cardio-vasculaire et couvrent l’intégralité des applications dont les Burkinabè ont besoin.

Vincent Coulis, manager de l’entreprise fournisseuse des trois IRM acquises

Poursuivant son opération de charme, le manager souligne également que ces machines permettent de faire plus, en moins de temps. Et ce n’est pas tout, selon M. Coulis, cette dernière génération de machines peut être installée partout et résiste aux problèmes d’électricité. Elles peuvent même, assure-t-il, être connectées à distance pour travailler, etc.

Vue partielle des futurs utilisateurs

Dans leurs échanges avec le fournisseur, les représentants des trois CHU ont exprimé leurs inquiétudes quant à la maintenance de ces machines eu égard aux mauvaises expériences passées, même si le contrat prévoit une garantie de deux années. En la matière, le directeur général de TM diffusion, la société en charge de l’exécution de ce projet, Joseph Sidibé, a rassuré que les échanges se poursuivront afin de trouver un terrain d’entente bénéfique pour toutes les parties.

Burkina : 216 754 déplacés internes ont moins de 5 ans à la date du 31 décembre 2022

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Avec 1 882 391 Personnes déplacées internes (PDI) réparties dans 302 communes d’accueil à la date du 31 décembre 2022, le Burkina Faso connaît un taux d’augmentation de 19,14% de PDI par rapport au 31 décembre 2021 et de 3,99% par rapport à la publication actualisée du 30 novembre 2022. Les femmes et les enfants demeurent les plus touchés par l’insécurité. Ce sont là les données du Secrétariat permanent du Conseil national de secours d’urgence et de réhabilitation (SP/CONASUR), diffusées le mardi 17 janvier 2023.

Avec ses 269 518 personnes déplacées internes, Djibo est en tête des communes d’accueil. Elle est suivie de Ouahigouya (143 464), Kaya (114 776), Fada-N’Gourma (114 491) et Barsalogho (89 300). Ces cinq communes accueillent 731 549 personnes, soit 38,86% du nombre total des PDI.

A l’échelle provinciale, c’est la province du Sanmatenga qui arrive en tête avec 316 265 PDI, ce qui représente 17,10% du nombre total des personnes ayant fui l’insécurité et connus des services du CONASUR. Elle est suivie du Soum (298 010), du Yatenga (171 726), du Gourma (130 642) et du Seno (111 956).

Au niveau régional, le Sahel avec ses 497 248 PDI occupe la première place. Il est suivi du Centre-nord (474 726), du Nord (250 179), de l’Est (205 627) et de la Boucle du Mouhoun (94 027).

Selon le tableau du CONASUR, les PDI de sexe féminin sont les plus touchées par le phénomène de l’insécurité. Elles sont au nombre de 992 349 contre 890 042 pour les personnes de sexe masculin. La moitié des déplacés internes (50%) enregistrés ont entre 0 et 14 ans dont 216 754 sont des enfants de moins de 5 ans. Le nombre des déplacés internes qui ont un âge compris entre 15 et 64 ans est établi à 892 567 soit 47,42% de l’effectif total. Ceux qui ont 65 ans et plus sont au nombre de 48 551.

Selon le CONASUR, les besoins prioritaires des déplacés internes sont d’abord d’ordre alimentaire (82,74%). Les questions d’abri, d’argent liquide, d’articles non alimentaires et de sécurité sont respectivement de 44,96%, 37,48%, 32,11% et 12,50%.

L’on se rappelle que le 11 octobre 2022, le CONASUR indiquait que les besoins en vivres pour la prise en charge des personnes déplacées internes pour l’année 2022 ont été évalués à 504 000 tonnes alors que l’État ne disposait que de 82 000 tonnes. Les besoins ont augmenté depuis lors au regard de l’augmentation du nombre de déplacés internes.

Affaire « prêts véhicules » à l’Assemblée nationale : L’ASCE-LC va engager des procédures particulières à l’encontre des parlementaires de la 8e législature

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Dans le communiqué ci-après, l’Autorité supérieure de contrôle d’État et de lutte contre la corruption (ASCE-LC) porte à la connaissance des députés qui n’ont pas encore remboursé les prêts qui leur ont été consentis par l’Assemblée nationale pour leur faciliter l’acquisition de véhicules qu’elle a saisi le ministre chargé des finances. Cela en vue de mettre en œuvre les procédures particulières prescrites en la matière, notamment la loi organique relative aux lois de finances.







JP DU MARDI 10 JANVIER 2023

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Les titres du journal

-Le gouvernement félicite l’entreprise PROPHARM spécialisé dans la production de médicaments au Burkina. Le ministre de la santé était en visite dans la structure.

-Prise de service au sein du CAMES, le Pr Souleymane Konaté promet de relever les défis de l’enseignement supérieur en Afrique. Il a été fait secrétaire général de l’institution lors de la 39eme session du conseil des ministre du CAMES

Présentation: Franck TAPSOBA

JP du mercredi 04 janvier 2023

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Titre:

  • Le chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré était à solenso le 31 décembre 2022 pour galvaniser et encourager les combattants et cela dans le cadre de son adresse à la nation a l’occasion du nouvel.  Solenzo, récemment libérée par l’Armée burkinabè. Un parcours difficile pour y arrivé.
  • L’Association Cœur d’or a apporté le sourire à 1 200 enfants vulnérables, des PDI. A l’occasion de la célébration de la fête de Noël. 1 200 élèves déplacés vivant à Toma, chef-lieu de la province du Nayala, dans la région de la Boucle du Mouhoun, ont reçu leurs cadeaux du « Père Noël, grâce à l’association Cœur d’or. Des cadeaux composés de vêtements, de popcorn et de la sucrerie un repas communautaire.
  • Les Ouagadougoulais sont Toujours dans l’attente du liquide précieux le carburant! L’approvisionnement en carburant plus particulièrement le super 91 n’est toujours pas revenu à la normale dans plusieurs quartiers de la capitale burkinabè. C’est le constat fait ce jour, mercredi 04 janvier 2023 ! Le manque d’essence se fait toujours sentir à Ouagadougou. Mais le ministre du développement industriel, du commerce, de l’artisanat, des petites et moyennes entreprises serges poda à travers une déclaration faite sur le plateau de la télévision nationale le mardi 03 janvier 2023a rassuré que la situation est rentrée en ordre concernant la pénurie de carburant. Des instructions aurait été données pour qu’il y ait une équipe de veille qui continue d’y travailler .

Présentation: Rosalie SANA